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Louis Le Dorze 26 octobre 1978

Le 26 octobre 1978 à Brest (29), le Gendarme Louis Le Dorze décède des suites de blessures reçues lors d'une intervention sur les lieux d'un incendie.

Né le 08 mai 1926 à Caudan (56), le Gendarme Louis Le Dorze était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Bretagne. Il avait 52 ans.

(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

Gabriel Domeyne 27 juillet 1978

Gendarme Gabriel Domeyne, décédé en service
 aérien commandé à l'âge de 29 ans. Au retour
 d'une opération de secours en montagne,
 a été mortellement blessé dans le crash
 accidentel de l'hélicoptère qui le
 transportait, Victime du Devoir.
Le 15 juillet 1978 à Modane (73), au retour d'une opération de sauvetage en montagne, un hélicoptère de Gendarmerie SA 319B Alouette III vient heurter une ligne électrique désaffectée au lieu-dit le Lavoir avant de s'écraser. Évacué vers un hôpital de La Tronche (38), le Gendarme Gabriel Domeyne succombe à ses blessures le 27 juillet 1978. Blessés, ses trois camarades présents dans l'appareil survivront.


L'hélicoptère en question sera réparé et réutilisé jusqu'à ce que, 7 ans plus tard, il s'écrase à nouveau à Modane lors d'un vol d'entrainement. Le bilan est là encore dramatique : 3 morts et un blessé grave

Né le 25 janvier 1949 à Puy-Saint-Vincent (05), le Gendarme Gabriel Domeyne était affecté au Peloton de Gendarmerie de Haute-Montagne de Modane. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Marié, il avait 29 ans.

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Joseph Abadie-Sere 16 avril 1978

Gendarme Joseph Abadie-Sere, décédé en
 service commandé à l'âge de 42 ans. Au
 retour d'une opération de sauvetage en
 montagne en Espagne, a trouvé la
 mort dans une avalanche,
 Victime du Devoir.
Le dimanche 16 avril 1978 vers 13 heures 30 près de Benasque (Espagne), au lendemain de l'évacuation de cinq jeunes alpinistes français qui s'étaient retrouvés en difficulté sur le massif de la Maladeta à environ 3000 mètres d'altitude, des secouristes espagnols et français engagés sur l'opération de sauvetage redescendent la montagne afin de rejoindre la ville la plus proche après une nuit passée au refuge de la Rencluse. C'est à cet instant que l
es quinze compagnons sont emportés par une avalanche. Parmi eux, le Gendarme Joseph Abadie-Sere, retrouvé sous 3 mètres de neige, est héliporté vers un hôpital de Bagnères-de-Luchon (31) où il succombe à ses blessures dans la journée. Blessés, ses camarades survivront.

Né le 11 décembre 1935 à Gez-ez-Angles (65), le Gendarme Joseph Abadie-Sere était affecté au Peloton de Gendarmerie de Haute-Montagne d'Argelès-Gazost (65). À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Marié et père de deux filles, il avait 42 ans.

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Christian Tehei 11 février 1976

Maréchal des Logis-Chef Christian Tehei, décédé en
 service commandé. Parti pour une mission de
 sauvetage, a disparu en mer avec 8 autres
 volontaires, Victime du Devoir.
Le 11 février 1976, partant de l'île de Raiatea (Polynésie Française) à bord d'un bateau à moteur
, le Maréchal des Logis-Chef Christian Tehei et huit autres personnes se lancent dans une expédition de sauvetage de plus de 200 kilomètres sur l'océan Pacifique pour tenter, malgré des circonstances particulièrement périlleuses, de récupérer un blessé grave sur l'atoll de Maupihaa (Polynésie Française). Disparu en mer avec tous ses compagnons, le sous-officier sera déclaré mort par jugement.

Le Maréchal des Logis-Chef Christian Tehei commandait la Brigade Territoriale de Raiatea. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie.

La 172ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (1993) porte le nom du MDC Tehei.

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Georges Dussauge et Guy Couffe 03 novembre 1974

Adjudant Georges Dussauge (à gauche) et Maréchal des Logis-Chef Guy Couffe
 (à droite), décédés en service aérien commandé à l'âge de 38 et 31 ans.

 Lors d'une opération de secours en montagne, ont trouvé la mort
 dans un crash accidentel d'hélicoptère, Victimes du Devoir.

Le 03 novembre 1974, un hélicoptère de Gendarmerie SA 319B Alouette III décolle de Hyères (83) pour une mission de sauvetage sur le massif des Écrins.

Durant l'intervention, vers 14 heures 30, l'hélicoptère est en vol stationnaire au dessus des Rouies, commune de La Chapelle-en-Valgaudémar (05), lorsqu'il est propulsé par un vent violent contre une paroi rocheuse. L'appareil vient ainsi heurter la montagne avant de s'écraser 100 mètres plus bas, tuant sur le coup L'Adjudant Georges Dussauge (pilote) et le Maréchal des Logis-Chef Guy Couffe (mécanicien).

Né le 14 janvier 1936 à Vichy (03), l'Adjudant Georges Dussauge était affecté à la Section Hélicoptères de la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Provence-Côte d'Azur à Hyères. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Marié, père de trois enfants, il avait 38 ans.

Né le 15 juillet 1943 à Perpignan (66), le Maréchal des Logis-Chef Guy Couffe était également affecté à la SHCRG de Provence-Côte d'Azur à Hyères. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Marié, père de trois enfants, il avait 31 ans.

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André Girard et Gil Bouaziz 27 janvier 1974


Le 27 janvier 1974, un hélicoptère de Gendarmerie SNCASE SE 3130 Alouette II décolle de Metz (57) pour une mission de sauvetage sur le massif des Vosges. Survolant la commune de La Bresse (88), près du col de la Schlucht, l'appareil gêné par un épais brouillard vient percuter une paroi rocheuse avant de s'écraser. Le Maréchal des Logis-Chef André Girard (mécanicien) est tué sur le coup tandis que le Lieutenant Gil Bouaziz (pilote) est évacué vers un hôpital de Colmar (68) où il succombera à ses blessures le 07 mars 1974.

Né le 16 octobre 1943 à Villefranche-de-Rouergue (12), le Lieutenant Gil Bouaziz était affecté à la Section Hélicoptères de la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Lorraine à Metz. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 30 ans.

Né le 25 juin 1936 à Verdun (55), le Maréchal des Logis-Chef André Girard était également affecté à la SHCRG de Lorraine à Metz. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 37 ans.

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Lucien Boeuf 27 janvier 1973

Le 27 janvier 1973 à Roquebrune-sur-Argens (83), alors qu'il se portait au secours de l'équipage d'une embarcation en détresse sur la mer Méditerranée, le Gendarme Lucien Boeuf est gravement blessé dans un accident de la circulation sur la route nationale 559 (devenue route départementale 559). Évacué vers un hôpital de Fréjus (83), il succombe à ses blessures le jour même.

Né le 29 juin 1929 à Couches (71), le Gendarme Lucien Boeuf était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Provence-Côte d'Azur. Il avait 43 ans.

Une avenue de Fréjus porte depuis le nom du GND Boeuf.

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Camille Quittard 18 octobre 1971

Le 18 octobre 1971 à Mornas (84), alors qu'il portait secours à l'équipage d'un bateau en péril sur le Rhône en compagnie de trois pompiers, le Gendarme Camille Quittard est emporté par les eaux et trouve la mort noyé. Son corps est repêché à Caderousse (84).

Né le 16 avril 1929 à Goudargues (30), le Gendarme Camille Quittard était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Provence-Côte d'Azur. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 42 ans.

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René Blazy 03 décembre 1959

Capitaine René Blazy, décédé en service commandé à
 l'âge de 34 ans. Engagé sur une gigantesque opération
 de sauvetage suite à la rupture meurtrière d'un barrage,
 a trouvé la mort accidentellement, Victime du Devoir.
Le 02 décembre 1959 peu après 21 heures à Fréjus (83), après de fortes pluies ayant entraîné une montée des eaux désastreuse, le barrage-voûte du lac de Malpasset cède malgré l'activation de la procédure d'urgence, vraisemblablement déclenchée avec plusieurs heures de retard. Près de 50 millions de mètres cubes d'eau se déversent sur environ un kilomètre de large, jusqu'à la mer Méditerranée distante d'une vingtaine de kilomètres. L'absence de système d'alerte ne laisse aucune possibilité de fuite aux occupants des zones sinistrées. La ville de Fréjus est dévastée et la catastrophe cause la mort de 423 personnes. 

La totalité des services de secours ainsi que tous les habitants valides sont réquisitionnées pour porter assistance et collecter les informations concernant les victimes. C'est dans ce contexte dramatique que le Capitaine René Blazy intègre l'équipage d'un hélicoptère SNCASE SE 3130 Alouette II engagé sur des missions de sauvetage. Dans la matinée du 03 décembre 1959, alors qu'il a déjà réalisé de nombreux hélitreuillages avec ses camarades durant la nuit, son hélicoptère se pose sur le toit d'un hangar pour secourir une famille en zone inondée. En marchant sur la bâtisse, le Capitaine Blazy glisse sur des tuiles qui se brisent sous ses pas. L'officier se relève lorsqu'il est tué sur le coup, sa tête heurtée par les pales de l'appareil.

En 1967, se basant sur plusieurs expertises, la Justice conclura que la catastrophe est seulement due à une cause naturelle non prévisible, excluant donc toute responsabilité humaine. En 2013, soit 54 ans après la catastrophe, la chaîne Arte diffuse un reportage dans lequel il est affirmé que la rupture du barrage, survenue durant la guerre d'Algérie, est le fait d'un attentat du FLN. Ces informations seraient basées, selon la chaîne, sur les archives des services secrets de l'Allemagne de l'Est. Le gouvernement de la RDA aurait ainsi eu connaissance d'un projet d'attentat et aurait, en pleine guerre froide, gardé le silence. Les affirmations de la chaîne crée un vif émoi mais aucun autre élément sérieux ne viendrait cependant accréditer cette thèse, la cause naturelle restant privilégiée.

Né le 04 juillet 1925 à Foix (09), le Capitaine René Blazy affichait 13 ans de services dans la Gendarmerie et commandait la Section Hélicoptères de la 9ème Région de Gendarmerie à Berre-l'Étang (13). Sous-officier dans l'ex-Garde Républicaine de 1946 à 1952, il sortait major de sa promotion d'officiers en 1953. Vétéran d'Indochine déjà décoré de la Croix de Guerre TOE, de la Croix de la Valeur Militaire, de la Croix du Combattant ainsi que de la Médaille Coloniale, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille de la Gendarmerie et la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon or) à titre posthume. Marié et père de quatre enfants, il avait 34 ans.

La 64ème promotion d'officiers de la Gendarmerie de l'école de Melun (1960) porte le nom du CNE Blazy.

Une rue de Fréjus porte également le nom
 du CNE Blazy.

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Louis Chambron 28 août 1957

Le 24 août 1957 à Valence (26), alors qu'il établissait un périmètre de sécurité autour des lieux d'un incendie, le Gendarme Louis Chambron est accidentellement heurté par un automobiliste. Évacué vers un hôpital, le sous-officier succombe à ses blessures le 28 août 1957.

Suites judicaires ignorées.

Le Gendarme Louis Chambron était affecté à la 8ème Légion ter de Gendarmerie Départementale. Il avait 32 ans.

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Bernard Collard 02 août 1957

Lieutenant Bernard Collard, décédé en service aérien
 commandé à l'âge de 30 ans. Au retour d'une mission
 de secours en haute-montagne, a trouvé la mort avec
 trois autres sauveteurs dans le crash accidentel
 de son hélicoptère, Victime du Devoir.
Le 02 août 1957, u
n hélicoptère de Gendarmerie SNCASE SE 3130 Alouette II décolle de Bron (69) pour se rendre à Chamonix-Mont-Blanc (74) où un alpiniste a été victime d'une grave chute en haute-montagne, à environ 2400 mètres d'altitude.

Arrivés à destination, les secours ne peuvent cependant que constater le décès de Charles-Henri Vélin (69 ans). Alors que trois sauveteurs restent sur les lieux de l'accident, le corps du défunt est héliporté vers l'hôpital le plus proche. Pilotant l'hélicoptère, le Lieutenant Bernard Collard va ensuite récupérer les membres d'équipage laissés sur place. Une fois ceci fait, sur le chemin du retour, un nouveau drame va se produire. Survolant la montagne à près de 3000 mètres d'altitude et propulsé par un vent très violent, l'appareil entre en collision avec une paroi rocheuse. Devenu incontrôlable, l'aéronef finit par s'écraser très violemment, tuant sur le coup le LNT Collard, un policier de la CRS n°147 de Grenoble (38) ainsi que les sauveteurs civils Jean Ducroz (28 ans, marié et père d'un enfant) et René Rionda (35 ans, marié et père d'un enfant) trouvent la mort dans ce crash.

Né le 13 juillet 1927 à Châlons-sur-Marne devenu Châlons-en-Champagne (51), le Lieutenant Bernard Collard affichait 5 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Section Hélicoptères de la 8ème Région de Gendarmerie à Bron depuis le 1er août 1957. Premier officier de Gendarmerie à être breveté pilote d'hélicoptère, il avait effectué plusieurs missions en zone de guerre en Indochine et en Algérie. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille de la Gendarmerie et la Médaille d'Honneur pour Actes de Courage et de Dévouement (échelon or). Il avait 30 ans.

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Charles Troutot, Paul Claude et Martial Festor 24 août 1956

De gauche à droite : Adjudant-Chef Charles Troutot, Maréchal des Logis-Chef Paul Claude et 
Maréchal des Logis-Chef Martial Festor, décédés en service commandé à l'âge de 54, 30 et
 44 ans. Engagés sur les opérations de secours déclenchées à la suite d'incendies,
 ont trouvé la mort piégés par les flammes, Victimes du Devoir.

Le 24 août 1956 en fin de matinée, des incendies d'abord contenus puis rallumés par un vent violent ravagent une région boisée près de Grasse (06) et menacent grandement des zones habitées. Face à la propagation extrêmement rapide du sinistre, les secours sont redéployés en nombre. C'est dans ces circonstances qu'un peloton de Gendarmerie Mobile est chargé avec quelques pompiers de faire évacuer des habitations isolées au nord de la ville sur le plateau de la Malle.

Vers 17 heures, une fois la mission accomplie, l'ordre de se replier est donné. 40 hommes parviennent à rejoindre trois camions prêts au départ mais 8 gendarmes ainsi qu'un civil volontaire âgé de 18 ans manquent à l'appel. Espérant les voir arriver, les compagnons attendront jusqu'au dernier moment avant de finalement s'échapper du brasier devenu incontrôlable, aucun point d'eau n'étant à proximité. Le jeune civil et 5 gendarmes réussissent à quitter l'enfer à pied mais l'Adjudant-Chef Charles Troutot ainsi que les Maréchaux des Logis-Chefs Paul Claude et Martial Festor sont pris au piège. Les trois gradés du peloton, restés volontairement en arrière en voulant s'assurer du repli de tous
, ne parviendront pas à s'échapper. Malgré l'acharnement des Sapeurs-Pompiers pour tenter de les localiser et de leur porter secours, les corps sans vie des trois sous-officiers seront découverts dans la soirée.

Plusieurs pompiers sont blessés en combattant les flammes et une quatrième personne (identité ignorée) décède également en conséquence de cet incendie dont la cause n'a vraisemblablement jamais été établie. 
Dans les environs et à la même période, plusieurs feux se révélaient être le fait de pyromanes (dont certains seront identifiés et condamnés).

L'Adjudant-Chef Charles Troutot était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 7/9 de Grasse. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon vermeil) et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Sur le point de prendre sa retraite, marié et père de quatre enfants, il avait 54 ans.


La 191ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (1996) porte le nom de l'ADC Troutot.

Le Maréchal des Logis-Chef Paul Claude était affecté à l'EGM 7/9 de Grasse. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon vermeil) et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Marié et père de deux enfants, il avait 30 ans.

La 459ème promotion de SOG de l'école de Chaumont (2014) porte le nom du MDC Claude.

Né le 12 mars 1912 à Oëlleville (88), le Maréchal des Logis-Chef Martial Festor 
était également affecté à l'EGM 7/9 de Grasse. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon vermeil) et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Marié et père de deux enfants, il avait 44 ans.


Une plaque commémorative sera apposée sur le lieu du drame.

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