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Éric Mougel 11 septembre 2017

Adjudant Éric Mougel, décédé en service commandé
 à l'âge de 53 ans, victime d'une crise cardiaque.
Le 11 septembre 2017 vers 14 heures à Mirecourt (88), l'Adjudant Éric Mougel est pris d'un malaise cardiaque dans les locaux de son unité. Malgré l'intervention rapide des secours, le sous-officier décède le jour même.

Né le 09 septembre 1964 à Épinal (88), l'Adjudant Éric Mougel affichait 35 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Mirecourt depuis 4 ans. En concubinage et père de trois enfants, il avait 53 ans.


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Bertrand Boyer, Philippe Regnier et Jérôme Bienfait 25 janvier 2008

De gauche à droite : Gendarme Bertrand Boyer, Gendarme Philippe Regnier et
 Gendarme Adjoint
 Volontaire Jérôme Bienfait, décédés en service commandé
 à l'âge de 26, 25 et 21 ans. Lancés à la poursuite d'un malfaiteur ayant refusé
 de soumettre à un contrôle routier, se sont portés à son secours alors qu'il se
 retrouvait bloqué sur un passage à niveau après s'y être volontairement
 engagé
 malgré l'approche signalée d'un train. Ont trouvé la mort
 happés par un second train,
 Victimes du Devoir.

Le vendredi 25 janvier 2008 vers 01 heures 30 à Neufchâteau (88), alors qu'un brouillard dense recouvre la région, une 
patrouille de Gendarmerie croise une Peugeot 309 dont le conducteur éveille l'attention. Ce dernier est en effet reconnu par l'équipage car il a déjà été interpellé de nombreuses fois, notamment pour conduite sans permis. Les gendarmes font naturellement demi-tour pour réaliser un contrôle mais la 309 s'avère volée et le jeune homme au volant ne compte aucunement obtempérer. Ignorant les injonctions, le mis en cause prend la fuite à vive allure et sort de l'agglomération en direction de Coussey (88). 
Après avoir parcouru 2 kilomètres sur lesquels il a distancé ses poursuivants, le délinquant aborde un croisement avec une voie ferrée sur la route nationale 74 (devenue route départementale 164) et décide, malgré le fait qu'un train défile sur le deuxième rail, de forcer le passage. Le véhicule volé se retrouve immobilisé sur le premier rail après avoir contourné les barrières abaissées. Arrivés sur les lieux, les Gendarmes Bertrand Boyer et Philippe Regnier ainsi que le Gendarme Adjoint Volontaire Jérôme Bienfait comprennent alors qu'un drame peut se produire à tout moment, redoutant le passage d'un second train. Le véhicule sérigraphié est stationné à quelques mètres du passage à niveau et les trois militaires accourent jusqu'à la 309 pour porter secours à son occupant puis procéder à son arrestation.

C'est à cet instant qu'un second train surgit justement sur le premier rail à plus de 100 km/h. Provenant d'une courbe et visible qu'au dernier moment, son bruit était de plus couvert par celui du premier train qui passait au même moment. C'est la seule heure de la nuit où deux trains se croisent. Les gendarmes, qui s'étaient approchés du véhicule du fuyard pour tenter de l'en dégager, n'auront pas le temps de s'écarter. Distinguant les signes désespérés de l'un des militaires, le conducteur du train de marchandises est impuissant, la machine pèse plus de 1500 tonnes et la distance (environ 200 mètres) est bien trop courte pour espérer s'arrêter ou même freiner. Survient ainsi le choc effroyable, le train balaye la Peugeot 309, la traînant sur plusieurs centaines de mètres. Fauchés de plein fouet alors qu'ils se trouvaient à l'arrière gauche de la voiture, le Gendarme Boyer et le Gendarme Regnier sont instantanément tués. Projeté dans la collision et retrouvé dans un état très grave, le GAV Bienfait est évacué au CHU de Nancy (54) où il y subi une amputation des jambes avant de finalement succomber le jour même vers 06 heures 30. Dans la carcasse du véhicule dérobé, on retirera le corps sans vie de Michaël Ely (21 ans) et on découvrira le cadavre d'un chien, des stupéfiants ainsi qu'un attirail pour siphonner du carburant.

Né le 21 décembre 1981 à Épinal (88), le Gendarme Bertrand Boyer affichait 2 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Neufchâteau depuis février 2007. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. En concubinage et père d'un enfant qui naîtra après son décès, il avait 26 ans.

La 460ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Chaumont (2015) porte le nom du MAJ Boyer.

Né le 30 mars 1982 à Obernai (67), le Gendarme Philippe Regnier affichait 7 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Neufchâteau depuis août 2002. Il venait de réussir l'examen pour devenir OPJ. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. En concubinage, il devait se marier avec sa compagne en juin 2008, laquelle l'épousera à titre posthume. Frère d'une policière, il avait 25 ans.

La 485ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Chaumont (2018) porte le nom du MAJ Regnier.

Né le 12 février 1986 à Lille (59), le Gendarme Adjoint Volontaire Jérôme Bienfait affichait 1 an de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Coussey depuis juin 2007. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Gendarme. Fils de gendarme, en concubinage et père d'un enfant qui naîtra après son décès, il avait 21 ans.

Une stèle commémorative a été apposée sur les lieux du drame.

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Vincent Thorez 23 mai 1993

Gendarme Vincent Thorez, tué en service commandé
 à l'âge de 28 ans. Alors qu'il intervient pour une
 altercation entre
 voisins, a été pris pour cible
 dès son arrivée par un protagoniste
 armé.
 Est tombé sous les balles,
 Victime
 du Devoir.
Le 23 mai 1993 vers 21 heures, le Maire de Circourt (88) contacte le CORG des Vosges pour signaler
 une énième altercation entre deux habitants. Un homme a jeté des cailloux sur sa voisine avant de la menacer avec un fusil et de tirer plusieurs coups de feu en l'air. 
Une patrouille de Gendarmerie, prêtant main forte à l'unité locale déjà occupée sur une intervention, se transporte rapidement sur place.

Alors que les Gendarmes Vincent Thorez et Éric Savouret arrivent tout juste sur les lieux, un nouveau coup de feu retentit en provenance de la propriété de l'inquiétant personnage. Une balle de gros calibre vient traverser la vitre avant passagère du véhicule sérigraphié, atteignant à la gorge le Gendarme Thorez qui, assis derrière le volant, descend de voiture avant de s'écrouler. Rattrapé par le Gendarme Savouret alors qu'il tentait de s'enfuir à pied, le tireur est maîtrisé sans usage des armes. Malgré l'intervention rapide des secours, le sous-officier touché succombe rapidement à sa blessure.

Générateur de multiples interventions depuis 1989 (son fusil lui avait été saisi puis rendu sur décision judiciaire), Robert Bontemps (40 ans) s'avère être copieusement alcoolisé (2,29 grammes d'alcool par litre de sang). 
Mis en examen et placé en détention provisoire pour meurtre d'un agent de la force publique, il sera jugé en juin 1996 par la Cour d'Assises des Vosges et condamné à 20 ans de réclusion criminelle (période de sûreté ignorée).

Né le 18 décembre 1964 à Dunkerque (59), le Gendarme Vincent Thorez affichait 5 ans de services. Sorti de l'ESOG de Montluçon (131ème promotion), il était affecté à la Brigade Territoriale de Xertigny (88). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié, père de trois filles dont l'une naîtra après son décès, il avait 28 ans.


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Jean-Pierre Vieille-Grosjean 19 janvier 1982

Le 19 janvier 1982 vers 09 heures 30 à Saint-Maurice-sur-Moselle (88), en patrouille à ski, le Gendarme Jean-Pierre Vieille-Grosjean fait une chute mortelle de plusieurs dizaines de mètres, tombant d'un précipice après une glissade sur une plaque de verglas.

Né le 03 mars 1948 à Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin (70), le Gendarme Jean-Pierre Vieille-Grosjean était affecté à la Brigade Territoriale de Lure (70). Marié et père d'un enfant, il avait 33 ans.

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Bernard Houillon 06 août 1980

Gendarme Bernard Houillon, décédé en service
 commandé à l'âge de 41 ans. A trouvé la
 mort dans un accident de la route.
Le 06 août 1980 à Charmes (88), en service police route, le Gendarme Bernard Houillon décède dans un accident de moto.

Né le 07 mars 1939 à Dounoux (88), le Gendarme Bernard Houillon était affecté à la Légion de Gendarmerie de Lorraine. Il avait 41 ans.

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Christian Meyer 27 novembre 1979

Le 27 novembre 1979, alors qu'il intervenait sur les lieux d'un accident de la route et qu'il assurait la régulation du trafic, le Gendarme Christian Meyer est accidentellement fauché par un automobiliste. Évacué vers un hôpital de Saint-Dié-des-Vosges (88), il succombe à ses blessures le jour même.

Suites judiciaires ignorées.

Né le 26 février 1958 à Strasbourg (67), le Gendarme Christian Meyer sortait de l'ESOG de Montluçon (20ème promotion) et était affecté à la Légion de Gendarmerie de Lorraine. Il avait 21 ans.

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André Girard et Gil Bouaziz 27 janvier 1974


Le 27 janvier 1974, un hélicoptère de Gendarmerie SNCASE SE 3130 Alouette II décolle de Metz (57) pour une mission de sauvetage sur le massif des Vosges. Survolant la commune de La Bresse (88), près du col de la Schlucht, l'appareil gêné par un épais brouillard vient percuter une paroi rocheuse avant de s'écraser. Le Maréchal des Logis-Chef André Girard (mécanicien) est tué sur le coup tandis que le Lieutenant Gil Bouaziz (pilote) est évacué vers un hôpital de Colmar (68) où il succombera à ses blessures le 07 mars 1974.

Né le 16 octobre 1943 à Villefranche-de-Rouergue (12), le Lieutenant Gil Bouaziz était affecté à la Section Hélicoptères de la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Lorraine à Metz. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 30 ans.

Né le 25 juin 1936 à Verdun (55), le Maréchal des Logis-Chef André Girard était également affecté à la SHCRG de Lorraine à Metz. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 37 ans.

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Jean Commeau 07 janvier 1946

Le 07 janvier 1946 près d'Épinal (88), le Garde Jean Commeau succombe à des blessures reçues au combat durant la seconde guerre mondiale.

Né le 15 septembre 1918 au Breuil (71), le Garde Jean Commeau était marié et avait 27 ans.

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Robert Guichard 30 juillet 1940

Le 21 juin 1940 à La Bresse (88), défendant le village attaqué par surprise par l'infanterie allemande, le Garde Robert Guichard riposte avec une arme automatique sur les colonnes ennemies. Très gravement blessé par balles durant le combat, a succombé à ses blessures le 30 juillet 1940 à Gérardmer (88).

Né le 10 novembre 1914 à La Charité-sur-Loire (58), le Garde Robert Guichard était affecté à la 20ème Légion de la Garde Républicaine Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Marié et père de deux garçons âgés de 4 et 2 ans, il avait 25 ans.

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Henri Royer 26 juin 1940

Le 22 juin 1940 à Gemaingoutte (88), gravement atteint en luttant en tête de ses hommes contre les forces allemandes, le Maréchal des Logis-Chef Henri Royer continue le combat malgré ses blessures, assurant sa mission jusqu'à l'extrême limite de ses forces. Évacué à l'hôpital militaire Chérin-Kellermann à Saint-Dié-des-Vosges (88), a succombé à ses blessures le 26 juin 1940.

Né le 06 octobre 1910 à Longchamp (21), le Maréchal des Logis-Chef Henri Royer affichait 4 ans de services et était affecté à la 9ème Légion de la Garde Républicaine Mobile, détaché au 330ème Régiment d'Infanterie (Armée de Terre) en raison de la guerre. Déjà décoré de la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent), il reçoit à titre posthume la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Marié et père d'une fille âgée de 5 ans, il avait 29 ans.

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Xxxxxxx Carrère et Jules Duponchel 22 juin 1940

Garde Carrère (à gauche) et Garde Jules Duponchel (à droite), tués en service commandé
 à l'âge de (?) et 25 ans. Durant la seconde guerre mondiale, sont tombés à la
 défense de la Patrie, Victimes du Devoir.

Le 22 juin 1940 à Gérardmer (88), les Gardes Carrère et Jules Duponchel sont tués à l'ennemi dans la défense du poste de commandement d'un corps d'armée attaqué par les forces allemandes.

Le Garde Carrère était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent).

Né le 30 octobre 1914 à Fleury (62), le Garde Jules Duponchel était également affecté à la 1ère LGRM. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 25 ans.

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Henri Abadie, Gustave Delanoy, Léon Mayer et André Pinault 22 juin 1940

De gauche à droite : Maréchal des Logis-Chef Henri Abadie, Garde Gustave Delanoy,
 Garde Léon Mayer et Garde André Pinault, tués en service commandé à l'âge
 de 38, 30, 31 et 34 ans. Durant la seconde guerre mondiale, sont tombés
 à la défense de la Patrie, Victimes du Devoir.

Tenant leur position depuis 2 jours sous le feu des mortiers et des mitrailleuses allemandes, le Maréchal des Logis-Chef Henri Abadie ainsi que les Gardes Gustave Delanoy, Léon Mayer et André Pinault sont tués à leur poste de combat le 22 juin 1940 à Laval-sur-Valogne (88).

Né le 1er décembre 1901 à Bordeaux (33), le Maréchal des Logis-Chef Henri Abadie était affecté à la 17ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 16ème GRCA (Armée de Terre) en raison de la guerre. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit à titre posthume la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 38 ans.

Né le 28 mars 1910 à Cavron-Saint-Martin (62), le Garde Gustave Delanoy était affecté à la 12ème LGRM et détaché au 16ème GRCA. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Marié et père d'un enfant, il avait 30 ans.

Né le 03 février 1909 à Saint-Quentin (02), le Garde Léon Mayer était affecté à la 12ème LGRM et détaché au 16ème GRCA. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Il avait 31 ans.

Né le 04 juillet 1905 à Paris (75), le Garde André Pinault était affecté également affecté à la 12ème LGRM et détaché au 16ème GRCA. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Il avait 34 ans.

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Léon Henry 22 juin 1940

Adjudant Léon Henry, tué en service commandé
 à l'âge de 41 ans. Durant la seconde guerre
 mondiale, est tombé à la défense de la
 Patrie, Victime du Devoir.
Le 22 juin 1940 à Gérardmer (88), participant à la défense du poste de commandement d'un corps d'armée lors d'une attaque allemande, l'Adjudant Léon Henry est mortellement atteint sous le feu ennemi en luttant en tête d'un groupe de combat.

Né le 25 octobre 1898 à Viéville-sous-les-Côtes devenu Vigneulles-lès-Hattonchâtel (55), l'Adjudant Léon Henry était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit à titre posthume la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile de bronze). Marié et père de trois garçons, il avait 41 ans.

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Albert Valentin 21 juin 1940

Le 21 juin 1940 à La Houssière (88), luttant contre les forces allemandes avec son unité, le Garde Albert Valentin est tué au combat au hameau de Vanémont.

Né le 30 janvier 1909 à Vexaincourt (88), le Garde Albert Valentin était affecté à la 20ème Légion de la Garde Républicaine Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Marié et père d'une fille âgée de 3 ans, il avait 31 ans.

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Hugo Deutzer 21 juin 1940

Gravement blessé au combat contre les forces allemandes, le Garde Hugo Deutzer succombe à ses blessures le 21 juin 1940 à Bains-les-Bains (88).

Né le 17 avril 1912 à Sainte-Marie-aux-Chênes (57), le Garde Hugo Deutzer était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché dans une unité de l'Armée de Terre en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 28 ans.

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Gervais Charpentier 21 juin 1940

Le 21 juin 1940 à La Houssière (88), servant de guide à un officier d'état-major, le Garde Gervais Charpentier est attaqué par des troupes allemandes lors d'une mission de reconnaissance périlleuse. A été tué à l'ennemi en engageant le combat.

Né le 25 septembre 1913 à Mesnil-sur-Oger (54), le Garde Gervais Charpentier était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile de vermeil). Marié, il avait 26 ans.

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Jean Laffont 19 juin 1940

Le 19 juin 1940 à Archettes (88), chargé de défendre le franchissement de la Moselle depuis une position bombardée par les mortiers, le Garde Jean Laffont lutte avec ses camarades contre des forces allemandes très largement supérieures en nombre. Bien qu'encerclé par l'ennemi, a continué à combattre et à encourager ses hommes, jusqu'à la mort.

Né le 17 avril 1911 à Ger (65), le Garde Jean Laffont était affecté à la 9ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 24ème GRCA (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile de vermeil). Il avait 29 ans.

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Didier Arnal 19 juin 1940

Le 19 juin 1940 à Archettes (88), engagé avec son peloton dans un combat contre les forces allemandes sur la rivière de la Moselle, le Maréchal des Logis-Chef Didier Arnal est tué en opposant avec ses hommes une résistance acharnée face à l'ennemi pour éviter un débordement de toute la position tenue par son unité.

Né le 09 mars 1906 à Saint-Pierre-d'Oléron (17), le Maréchal des Logis-Chef Didier Arnal était affecté à la 9ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 24ème GRCA (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile de vermeil). Marié, il avait 34 ans.

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Marcel Roulland 19 juin 1940

Lieutenant Marcel Roulland, tué en service commandé
 à l'âge de 27 ans. Durant la seconde guerre mondiale,
 est tombé à la défense de la Patrie, Victime du Devoir.
Le 19 juin 1940 à Remiremont (88), pris dans une embuscade des forces allemandes après avoir, sur sa demande, récupérer le commandement d'une reconnaissance motocycliste, le Lieutenant Marcel Roulland est tué au combat en ripostant au fusil-mitrailleur seul face à l'ennemi.

Né le 08 août 1912 à Rouen (76), le Lieutenant Marcel Roulland était affecté à la 9ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 51ème GRDI (Armée de Terre). À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Marié et père d'un enfant, il avait 27 ans.

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André Derégnaucourt 18 juin 1940

Le 18 juin 1940 à Bazoilles-sur-Meuse (88), engagé dans les combats contre les forces allemandes, le Maréchal des Logis-Chef André Derégnaucourt est tué à l'ennemi.

Né le 14 août 1914 à Somain (59), le Maréchal des Logis-Chef André Derégnaucourt était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 53ème Bataillon de Mitrailleurs Motorisé (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 25 ans.

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