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Jacques Birault 21 janvier 1999

Maréchal des Logis-Chef Jacques Birault, tué en service
 commandé à l'âge de 41 ans. Assigné à la protection
 de la résidence d'un diplomate français au Congo-
Brazzaville, est tombé sous les balles lors de
 l'attaque d'un groupe armé, Victime du Devoir.
Le 21 janvier 1999 vers 13 heures à Brazzaville (République du Congo), dans le quartier Makélékélé, des combats opposent les forces gouvernementales à un groupe rebelle. Des tirs de mortiers et d'armes automatiques retentissent.

Peu après 16 heures, alors qu'il assure avec un détachement de son unité la protection du domicile de l'Ambassadeur de France situé dans le quartier Bacongo, le Maréchal des Logis-Chef Jacques Birault est confronté à une vingtaine d'individus lourdement armés qui font irruption à l'entrée principale du site. Donnant l'alerte, le MDC Birault est pris sous le feu d'un assaillant qui a réussi à s'approcher au plus près de la clôture sans être déceler. Gravement atteint par balles au thorax et à l'abdomen, il est évacué par ses camarades sous un feu nourri provenant de plusieurs directions. Mis à l'abri, le sous-officier succombe à ses blessures malgré les soins prodigués par un infirmier.

Les combats prendront fin le jour même vers 19 heures 30 après l'arrivée de renforts provenant des forces gouvernementales.

Né le 21 janvier 1958 à Bressuire (71), le Maréchal des Logis-Chef Jacques Birault affichait 22 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 11/2 de Bouliac (33). À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille Militaire, la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze), la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon or), la Médaille d'Honneur des Affaires Étrangères et est cité à l'Ordre de la Nation. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Marié, père d'une fille de 12 ans et d'un garçon de 1 an, il venait d'avoir 41 ans.


La 39ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Châteaulin (2012) porte le nom du Major Birault.


Stèle commémorative apposée à l'Ambassade
de France au Congo.

(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

Alain Didot, Gilda Lana et René Maïer 08 avril 1994

De gauche à droite : Madame Gilda Lana épouse Didot (44 ans), Adjudant-Chef Alain Didot
 (45 ans) et Adjudant-Chef René Maïer (47 ans). 
En déplacement au Rwanda, ont été
 assassinés durant la guerre civile, Victimes du Devoir.

Entre le 07 et le 08 avril 1994 à Kigali (Rwanda), les Adjudants-Chefs Alain Didot et René Maïer, madame Gilda Lana (épouse Didot) ainsi qu'un jeune homme rwandais travaillant pour eux, Jean-Damascène Murasira, sont assassinés par des éléments non identifiés à l'intérieur de la villa où habitait l'un d'entre eux.

Ces assassinats, survenus à l'aube du génocide des Tutsis, n'ont pas fait l'objet d'une enquête. Selon les témoignages de civils rwandais qu'ils avaient accueillis dans la village et qui ont été épargnés, ces quatre personnes ont été exécutées par éléments du FPR.

Né le 09 décembre 1948 à Joeuf (54), l'Adjudant-Chef Alain Didot affichait 19 ans de services dans la Gendarmerie, 3 ans de services dans l'Armée de Terre et était affecté à la Mission d'Assistance Militaire et Technique à la République Rwandaise depuis 1992. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze). À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Marié sans enfant, il avait 45 ans. Madame Gilda Lana, épouse Didot, avait rejoint son mari au Rwanda. Elle avait 44 ans.

Né le 20 février 1947 à Strasbourg (67), l'Adjudant-Chef René Maïer affichait 25 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Mission d'Assistance Militaire et Technique à la République Rwandaise depuis 1993. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze) à titre posthume. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Il avait 47 ans.


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Christian Mondon et André Cruz 29 octobre 1987

Lieutenant Christian Mondon (à gauche) et Adjudant André Cruz (à droite), tués en
 service commandé à l'âge de 29 et 48 ans. En opération extérieure au Liban,
 sont tombés sous les balles d'un commando terroriste, Victimes du Devoir.
Le 29 octobre 1987 vers 10 heures à Bourj Hammoud (Liban), détachés à la protection de l'Ambassade de France, trois gendarmes se rendent en jeep dans le quartier Dora pour effectuer des achats dans un magasin d'artisanat.
Alors que les militaires discutent avec le vendeur, deux hommes font irruption dans le commerce et ouvrent aussitôt le feu avec des armes automatiques. Le Lieutenant Christian Mondon n'a pas le temps de réagir, il est mortellement atteint en pleine tête. L'Adjudant André Cruz et le Gendarme Miguel Collignon dégainent leurs armes pour riposter avant de s'effondrer sous les rafales. Les terroristes prennent la fuite en voiture tout en tirant en l'air. L'Adjudant Cruz succombe rapidement à ses blessures tandis que le Gendarme Collignon, très gravement blessé, survivra.
Les assassins n'ont jamais été identifiés.
Né le 29 mai 1958 à Lunéville (54), le Lieutenant Christian Mondon recevait sa première affectation à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 6/20 de Dijon (21) en août 1987. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie. Marié et père de deux enfants, il avait 29 ans.
Né le 17 décembre 1938 à Taza (Maroc), l'Adjudant André Cruz affichait 19 ans de services et était également affecté à l'EGM 6/20 de Dijon. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. À titre exceptionnel, il est nommé au grade d'Adjudant-Chef. Marié et père de deux enfants, il avait 48 ans.
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Jules Gombert 26 avril 1984

Le 26 avril 1984 vers 15 heures à Beyrouth (Liban), en faction devant le bâtiment de l'Ambassade de France, l'Adjudant-Chef Jules Gombert est très gravement atteint par deux balles lors d'un mitraillage par les occupants d'un véhicule passant à vive allure. Évacué vers un hôpital de la ville, il succombe à ses blessures le jour même.

Né le 04 décembre 1932 à Santes (59), l'Adjudant-Chef Jules Gombert affichait 23 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 2/5 de Villeneuve d'Ascq (59). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire, la Médaille de la Gendarmerie et la Croix de la Valeur Militaire (avec palme). À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Il avait 51 ans.

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Jean Delannoy 06 janvier 1975

Le 06 janvier 1975 à Annezin (62), le Gendarme Jean Delannoy décède des suites de blessures reçues en service commandé durant la guerre d'Algérie en 1962.

Né le 1er février 1933 à Auchy-les-Mines (62), le Gendarme Jean Delannoy avait 41 ans.

Il est le dernier gendarme mort en conséquence de la guerre d'Algérie (qui fit environ 600 morts dans la Gendarmerie).

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Pierre Urion 17 décembre 1969

Le mercredi 17 décembre 1969 près de Goz Beïda (Tchad), assurant l'encadrement et la formation de la Gendarmerie Nationale tchadienne, le Gendarme Pierre Urion se lance avec plusieurs gendarmes tchadiens à la poursuite d'éléments du FROLINAT auteurs de plusieurs cambriolages.

Alors qu'ils rattrapent les individus et qu'ils tentent de les interpeller, le gendarme français et les gendarmes tchadiens sont pris dans une intense fusillade. Assaillis de toutes parts et submergés par le nombre, le Gendarme Pierre Urion et le Gendarme Gaston Namadingar (tchadien) sont mortellement atteints par balles malgré une riposte acharnée.

Né le 1er janvier 1940 à Méréville (54), le Gendarme Pierre Urion était affecté à la Section Gendarmerie de la Mission d'Aide en République du Tchad. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 29 ans.


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François Linda 06 septembre 1967

Le 06 septembre 1967 à Mangalmé (Tchad), assurant l'encadrement et la formation de la Gendarmerie Nationale tchadienne, le Maréchal des Logis-Chef François Linda est tué lors d'un engagement contre les insurgés du FROLINAT.

Né le 25 juillet 1930 à Jaulnes (77), le Maréchal des Logis-Chef François Linda était affecté à la Section Gendarmerie de la Mission d'Aide en République du Tchad. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 37 ans.

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Romain Suzzarini, Jean-Paul Destribats et Yves Henry 08 décembre 1962


Le 08 décembre 1962 à Chlef (Algérie), assignés à l'escorte d'un bus transportant des écoliers français, le Maréchal des Logis-Chef Romain Suzzarini, le Gendarme Jean-Paul Destribats et le Gendarme Yves Henry sont exécutés sous les balles de militaires algériens agissant en violation du cessez-le-feu. Le véhicule scolaire essuie des rafales et deux enfants sont légèrement blessés.

Le même jour dans la même ville, les Soldats Joseph Foucher (21 ans) et Jean Gatoux (21 ans), appelés du contingent au 131ème RI (Armée de Terre), sont assassinés dans les mêmes conditions. Éventuelles suites judiciaires ignorées.

Né le 19 mars 1930, le Maréchal des Logis-Chef Romain Suzzarini était affecté à la 10ème Légion de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 32 ans.

Né le 18 décembre 1937 à Saint-André-de-Seignanx (40), le Gendarme Jean-Paul Destribats était affecté à la 10ème LGM. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 24 ans.

Né le 21 février 1937 à Guingamp (22), le Gendarme Yves Henry était également affecté à la 10ème LGM. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié, il avait 25 ans.

Son frère, le Lieutenant Jean Henry (26 ans), engagé dans l'Armée de Terre, avait trouvé la mort au combat en Indochine fin 1951.

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René Valot 29 août 1962

Le 29 août 1962 aux Issers (Algérie), commandant de peloton, l'Adjudant-Chef René Valot est gravement atteint par balles au cours d'un engagement alors qu'il progressait en tête de ses hommes pour investir une ferme dans le cadre d'une opération de police. Évacué vers un hôpital de Tizi Ouzou (Algérie), le sous-officier succombe à ses blessures le jour même.

Né le 18 novembre 1924 à Plurien (22), l'Adjudant-Chef René Valot était affecté à la 10ème Légion de Gendarmerie Mobile. Vétéran de la seconde guerre mondiale et d'Indochine, déjà cité et déjà décoré notamment de la Médaille Militaire et de la Croix de Guerre 39-45, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur à titre exceptionnel et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Il avait 37 ans.

Son frère, le Matelot Max Valot (20 ans), appelé du contingent dans la Marine Nationale, était tué en Algérie en janvier 1958.

La 298ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Châtellerault (2002) porte le nom de l'ADC Valot.


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Jacques Lefèvre 05 août 1962

Le 05 août 1962 près de Blida (Algérie), le Gendarme Jacques Lefèvre disparait en service commandé. A été déclaré mort par jugement.

Né le 06 décembre 1933 à Morgny (27), le Gendarme Jacques Lefèvre était affecté à la Brigade Territoriale de Laghouat (Algérie). À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie et la Croix de la Valeur Militaire (avec palme de bronze). Il avait 28 ans.

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Pierre Vernou et Raymond Blanchard 11 juillet 1962


Le 11 juillet 1962 près de Rechaïga (Algérie), le Maréchal des Logis-Chef Pierre Vernou et le Gendarme Raymond Blanchard disparaissent lors d'un service de liaison. Ont été déclarés morts par jugement.

Né le 29 janvier 1929 à Avensan (33), le Maréchal des Logis-Chef Pierre Vernou était affecté à la 10ème Légion de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie et la Croix de la Valeur Militaire (avec palme de bronze). Il avait 33 ans.


Né le 19 décembre 1933 à Briançon (05), le Gendarme Raymond Blanchard était également affecté à la 10ème LGD. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie et la Croix de la Valeur Militaire (avec palme de bronze). Il avait 28 ans.


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Jean Navarro 30 juin 1962

Le 30 juin 1962 près de Sig (Algérie), le Gendarme Jean Navarro disparait en service commandé. A été déclaré mort par jugement.

Né le 23 novembre 1930, le Gendarme Jean Navarro était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 31 ans.

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Yves Paulais et Pierre Arlot 18 juin 1962


Le 18 juin 1962 à Sidi Bel Abbès (Algérie), pris dans une embuscade lors d'une patrouille, le Maréchal des Logis-Chef Yves Paulais et le Gendarme Pierre Arlot sont mortellement atteints par balles au cours d'un engagement contre un commando terroriste non identifié.

Né le 09 novembre 1930, le Maréchal des Logis-Chef Yves Paulais était affecté à la 6ème Légion bis de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 31 ans.

Né le 03 juin 1932 à Châtellerault (86), le Gendarme Pierre Arlot était également affecté à la 6ème LGM bis. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 30 ans.

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Pierre Leleu 17 juin 1962

Gendarme Pierre Leleu, tué en service commandé
 à l'âge de 24 ans. Dans une Algérie d'après-guerre
 déchirée par les attentats, a trouvé la mort au
 combat contre l'OAS, Victime du Devoir.
Le 17 juin 1962 à Sidi Bel Abbès (Algérie), lors d'une opération de nuit contre l'OAS, le
 Gendarme Pierre Leleu est mortellement atteint sous les balles d'un commando terroriste.

Né le 27 septembre 1937 à Outreau (62), le Gendarme Pierre Leleu était affecté à la 6ème Légion bis de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 24 ans.

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Alfred Dupuis 12 juin 1962

Gendarme Alfred Dupuis, assassiné à l'âge
 de
 32 ans. Dans une Algérie d'après-guerre
 déchirée par les attentats, a été exécuté
 par des terroristes
Victime du Devoir.
Le 12 juin 1962 à Oran (Algérie), le Gendarme Alfred Dupuis est enlevé puis exécuté par des terroristes non identifiés.

Né le 03 avril 1930 à Cherbourg devenu Cherbourg-en-Cotentin (50), le Gendarme Alfred Dupuis affichait 10 ans de services et était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 32 ans.

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Paul Le Lann 07 juin 1962

Le 07 juin 1962 à Oran (Algérie), assigné à la protection du cantonnement de son unité, le Gendarme Paul Le Lann est mortellement atteint sous les balles d'un commando terroriste non identifié.

Né le 07 juin 1934, le Gendarme Paul Le Lann était affecté à la 4ème Légion de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il venait d'avoir 28 ans.

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Pierre Bourzeix 06 juin 1962

Le 28 mai 1962 à Alger (Algérie), mitrailleur à bord d'un blindé en patrouille, le Gendarme Pierre Bourzeix est gravement atteint par balles en ripostant à une embuscade de l'OAS. Évacué vers un hôpital, le sous-officier décède des suites de ses blessures le 06 juin 1962.

Né le 08 février 1938, le Gendarme Pierre Bourzeix était affecté à la 4ème Légion de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 24 ans.

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François Petit 03 juin 1962

Le 03 juin 1962 à Mostaganem (Algérie), l'Adjudant-Chef François Petit est mortellement atteint sous les balles de terroristes non identifiés.

Né le 21 avril 1908 à Guéret (23), l'Adjudant-Chef François Petit était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Il avait 54 ans.

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Michel Charbon 03 juin 1962

Le 03 juin 1962 près de Boukadir (Algérie), le Gendarme Michel Charbon disparait en service commandé. A été déclaré mort par jugement.

Né le 21 juin 1934 à L'Abergement-de-Cuisery (71), le Gendarme Michel Charbon était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 27 ans.

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Claude Lafont 30 mai 1962

Gendarme Claude Lafont, tué en service
 commandé à
 l'âge de 26 ans. Dans une
 Algérie d'après-guerre
 déchirée par les

 attentats, est tombé sous les balles
 d'un terroriste,
 Victime du Devoir.
Le 29 mai 1962 à Alger (Algérie), assigné à la protection du bâtiment où se trouve le Haut-Commissariat de la République en Algérie, le Gendarme Claude Lafont est très gravement atteint par les tirs d'un sniper OAS caché dans un immeuble voisin. Évacué vers un hôpital, il succombe à ses blessures le 30 mai 1962.

Né le 21 février 1936 à Nages-et-Solorgues (30), le Gendarme Claude Lafont était affecté à la 8ème Légion de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Célibataire et sans enfant, il avait 26 ans.

Un chemin de Nages-et-Solorgues porte le nom du GND Lafont depuis 2009.

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