Régis Gueugneau 16 mars 2018

Le vendredi 16 mars 2018 vers midi à Talus-Saint-Prix (51), en service police route à moto, l'Adjudant Régis Gueugneau et le Gendarme Jean-Charles Cailbeaux circulent sur la route départementale 951 lorsque, à la sortie d'un virage, ils sont heurtés frontalement par un automobiliste au volant d'une Peugeot 306 qui arrivait en sens inverse et qui s'est brusquement déporté sur la partie gauche de la chaussée. Éjectés des motos, les deux militaires sont gravement blessés. Malgré les soins immédiatement prodigués par un ambulancier qui passait par hasard, l'Adjudant Gueugneau succombe sur le lieu de l'accident.

Le conducteur de la 306 s'est endormi alors qu'il avait pris des médicaments contre-indiqués avec la conduite d'un véhicule (niveau 3). Déjà condamné par la Justice à 8 reprises, Loïc Merino (32 ans) est mis en examen pour homicide involontaire et blessures involontaires aggravés. Placé en détention provisoire, il est jugé devant le Tribunal Correctionnel de Châlons-en-Champagne (51) en septembre 2018 et condamné à 2 ans de prison dont 16 mois de sursis.

Né le 21 novembre 1972 au Creusot (71), l'Adjudant Régis Gueugneau était affecté à la Brigade Motorisée de Sézanne (51). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Défense Nationale (échelon or avec palme de bronze). À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Marié et père de deux enfants, il avait 45 ans.

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Frédéric Stourbes 11 octobre 2017

Adjudant-Chef Frédéric Stourbes, décédé à l'âge de 52 ans,
 victime d'un accident de la route alors qu'il se rendait
 à son unité pour la prise de service.

Le mercredi 11 octobre 2017 vers 06 heures 45 à Muizon (51), rejoignant son unité au guidon de sa moto personnelle pour la prise de service, l'Adjudant-Chef Frédéric Stourbes circule sur la route nationale 31 et aborde une intersection lorsqu'un Ford Kuga s'y engage sans respecter les règles de priorité. Heurtant de plein fouet le véhicule qui lui barrait la route, le sous-officier décède sur le coup. Les deux occupants du SUV sont légèrement blessés dans la collision.

Âgé de 52 ans, le conducteur en cause est mis en examen pour homicide involontaire. Jugé librement devant le Tribunal Correctionnel de Reims (51) en juillet 2018, il est condamné à 3 mois de prison avec sursis et 6 mois de suspension du permis de conduire.

Né le 22 novembre 1964 à Hem-Monacu (80), l'Adjudant-Chef Frédéric Stourbes affichait 32 ans de services dans la Gendarmerie et commandait la Brigade Territoriale de Soissons (02) depuis 4 ans. Marié et père de deux enfants, il avait 52 ans.

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Emmanuel Debordes 09 janvier 2008

Gendarme Emmanuel Debordes, décédé en service
 commandé à l'âge de 30 ans. Alors qu'il partait pour
 une escorte médicale urgente au guidon de sa
 moto, a trouvé la mort dans un accident
 de la route, Victime du Devoir.

Le 09 janvier 2008 vers 18 heures à Époye (51), sollicités par le SAMU, deux gendarmes motocyclistes empruntent la route départementale 980 pour rejoindre une ambulance qui transporte un blessé grave et qu'ils doivent escorter jusqu'au CHU de Reims (51).

Les militaires circulent à vive allure en faisant usage des avertisseurs lumineux et sonores lorsqu'une automobiliste arrivant en sens inverse perd le contrôle de sa Renault Laguna après avoir mordu le bas-côté. La voiture se déportant sur la partie gauche de la chaussée, le Gendarme Stéphane Boncinelli parvient à éviter de peu la collision mais le Gendarme Emmanuel Debordes vient quant à lui la percuter de plein fouet. Malgré les soins qui lui sont rapidement prodigués, le sous-officier succombe à ses blessures les lieux de l'accident.

Légèrement blessée, la conductrice âgée de 25 ans expliquera avoir voulu serré à droite afin de faciliter le passage en voyant les gyrophares. Mise en examen pour homicide involontaire, elle est jugée librement devant le Tribunal Correctionnel de Reims en septembre 2008 et elle est condamnée à 2 mois de prison avec sursis, 200 euros d'amende ainsi qu'à une suspension du permis de conduire pour une durée de 4 mois.

Né le 1er février 1977 à Thouars (79), le Gendarme Emmanuel Debordes affichait 7 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté au Peloton Motorisée de Rethel (08) depuis 2004. Il était déjà décoré de la Médaille de la Défense Nationale (échelon bronze). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Marié, père d'une fille âgée de 1 an et d'une seconde qui naîtra après son décès, il avait 30 ans.

La 92ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Châteaulin (2018) porte le nom du MAJ Debordes.

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Francis Lafaye 26 octobre 1986

Le 26 octobre 1986 à Cuperly (51), participant à des manœuvres de nuit dans le camp militaire de Mourmelon, le Gendarme Francis Lafaye trouve la mort dans un accident de la circulation routière.

Né le 23 août 1958 à Rouen (76), le Gendarme Francis Lafaye était affecté à la Légion de Gendarmerie Mobile d'Île-de-France. Il avait 28 ans.

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Jean Carlot 20 décembre 1977

Le 20 décembre 1977 à Reims (51), le Gendarme Jean Carlot décède des suites de blessures reçues en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 24 juillet 1949 à Saint-Martin-en-Bresse (71), le Gendarme Jean Carlot était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Bourgogne. Il avait 28 ans.

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Roger Nonat 06 janvier 1972

Le 06 janvier 1972 à Billy-le-Grand (51), une patrouille de Gendarmerie intervient sur la route nationale 44 (devenue route départementale 944) où un grave accident de la circulation vient d'avoir lieu.

Affairé à la régulation du trafic au milieu d'un brouillard intense et en présence d'une chaussée verglacée, le Gendarme Roger Nonat remarque une voiture qui survient à vive allure malgré les conditions climatiques et le balisage mis en place. Tentant désespérément d'attirer l'attention de l'automobiliste imprudent afin d'éviter un nouveau drame, le sous-officier est fauché de plein fouet puis traîné sur plusieurs mètres par un second véhicule. Évacué vers un hôpital de Châlons-en-Champagne (51), il succombe à ses blessures le jour même.

Suites judiciaires ignorées.

Né le 29 décembre 1933 à Subligny (89), le Gendarme Roger Nonat était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Champagne. À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 38 ans.

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Jean-Louis Dabe et Michel Thiebault 05 mai 1969

Le 05 mai 1969 près de Châlons-sur-Marne devenu Châlons-en-Champagne (51), les Gendarmes Jean-Louis Dabe et Michel Thiebault décèdent en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Le Gendarme Jean-Louis Dabe était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Champagne.

Né en 1941 à Outines (51), le Gendarme Michel Thiebault était également affecté à la CRG de Champagne. Marié et père d'une fillette âgée de 2 ans, il avait 28 ans.

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Alexandre Peter 24 juillet 1949

Le 24 juillet 1949 à Verzy (51), le Garde Alexandre Peter décède des suites d'une maladie contractée en service commandé.

Né le 29 avril 1910 à Vouziers (08), le Garde Alexandre Peter était affecté à la 6ème Légion de la Garde Républicaine. Veuf, remarié et père de deux filles, il avait 39 ans.

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Fernand Ligier 18 septembre 1940

Gendarme Fernand Ligier, décédé en service
  commandé à l'âge de 39 ans,
 Victime du Devoir.

Le 18 septembre 1940 à Châlons-sur-Marne devenu Châlons-en-Champagne (51), le Gendarme Fernand Ligier décède des suites d'une maladie contractée en service commandé.

Né le 24 avril 1901 à Pouru-Saint-Remy (08), le Gendarme Fernand Ligier était affecté à la 14ème Légion de Gendarmerie. Marié et père de deux enfants, il avait 39 ans.

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Yves Quémener 13 juin 1940

Le 13 juin 1940 à Anglure (51), lors du bombardement du village par l'aviation allemande, le Garde Yves Quémener est tué à l'ennemi.

Né le 04 août 1913 à Audierne (29), le Garde Yves Quémener était affecté dans la Garde Républicaine Mobile, détaché au 40ème GRDI (Armée de Terre) en raison de la guerre. Proposé pour la Médaille Militaire à titre posthume 23 ans plus tard (vraisemblablement non attribuée). Marié, il avait 26 ans.

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Paul Voisin 13 juin 1940

Le 13 juin 1940 à Anglure (51), chargé de réguler la circulation à l'intersection de la Route de Sézanne et de la Rue de Châlons, le Gendarme Paul Voisin continue à assurer sa mission lors de l'attaque du village par l'aviation allemande. A été tué à son poste par éclats de bombe.

Né le 21 juillet 1900 à Nancy (54), le Gendarme Paul Voisin était affecté à la 6ème Légion de Gendarmerie. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Marié, il avait 39 ans.

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Maurice Pichard, Richard Perrein et Roger Potel 13 juin 1940

De gauche à droite : Lieutenant Maurice Pichard, Maréchal des Logis-Chef Richard
 Perrein et Garde Roger Potel, tués en service commandé à l'âge
 de 27, 25 et 23 ans. Durant la seconde guerre mondiale, sont
 tombés à la défense de la Patrie, Victimes du Devoir.

Le 13 juin 1940 à Heiltz-l'Évêque (51), après avoir anéanti avec leur section et seulement deux chars Hotchkiss H39 une trentaine de véhicules allemands dont plusieurs blindés, le Lieutenant Maurice Pichard, le Maréchal des Logis-Chef Richard Perrein et le Garde Roger Potel sont tués sous le feu des chars lourds ennemis qu'ils attaquaient avec un bataillon d'infanterie dont ils s'étaient spontanément portés en renfort.

Né le 13 juillet 1912 à Poitiers (86), orphelin de guerre en 1915, le Lieutenant Maurice Pichard affichait 5 ans de services (dont 1 an dans l'Armée de Terre) et était affecté à 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile, détaché au 45ème Bataillon de Chars de Combat de la Gendarmerie. Il s'était déjà distingué dans les combats livrées par son unité les 15 et 19 mai 1940, survivant notamment à trois impacts d'obus ayant percé son char. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Marié et père d'un garçon, il avait 27 ans.

La 39ème promotion d'officiers de Gendarmerie de l'école de Melun (1941) porte le nom du LTN Pichard. Une caserne de Gendarmerie Mobile à Drancy (93), une caserne de Gendarmerie Départementale à Vitry-le-François (51) et une rue de Heiltz-l'Évêque portent également son nom.

Né le 09 octobre 1914 à Cassel (Allemagne), le Maréchal des Logis-Chef Richard Perrein était également affecté à la 1ère LGRM et détaché au 45ème BCCG. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Il avait 25 ans.

Né le 10 juin 1917 à Sourdeval (50), le Garde Roger Potel était affecté à la 10ème LGRM et détaché au 45ème BCCG. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Il avait 23 ans.

La 97ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école du Mans (2006) porte le nom du GRD Potel.

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Henri Coquelin 13 juin 1940

Le 13 juin 1940 à Chaudefontaine (51), le Garde Henri Coquelin est tué au combat contre les troupes allemandes.

Né le 15 novembre 1911 à Montjoie-Saint-Martin (50), le Garde Henri Coquelin était affecté à la 3ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 147ème Régiment d'Infanterie (Armée de Terre) en raison de la guerre. Marié, il avait 28 ans.

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Gaston Harrault 13 juin 1940

Le 13 juin 1940 à Maclaunay devenu Montmirail (51), encerclé par les blindés allemands, le Maréchal des Logis-Chef Gaston Harrault tombe au champ d'honneur en soutenant avec ses camarades un combat désespéré.

Né le 15 juillet 1904 à Paris (75), le Maréchal des Logis-Chef Gaston Harrault était affecté à la 5ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 135ème Régiment d'Infanterie (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre normal, il reçoit la Médaille Militaire. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 35 ans.

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Serge Chasles 13 juin 1940

Le 13 juin 1940 à Merlaut (51), engagé dans les combats avec les blindés allemands, le Maréchal des Logis-Chef Serge Chasles oppose avec sa section une résistance acharnée. A été tué en luttant en tête de ses hommes.

Né le 18 janvier 1914 à Lisieux (14), le Maréchal des Logis-Chef Serge Chasles était affecté à la 3ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 329ème Régiment d'Infanterie (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 26 ans.

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Pierre Chaumet 12 juin 1940

Garde Pierre Chaumet, tué en service commandé
 à l'âge de 21 ans. Durant la seconde guerre
 mondiale, est tombé à la défense de
 la Patrie, Victime du Devoir.

Le 12 juin 1940 à Recy (51), après avoir brillamment participé à tous les combats livrés par son unité depuis 1 mois contre les forces allemandes, le Garde Pierre Chaumet tombe au champ d'honneur.

Né le 12 juillet 1918 à Mende (48), le Garde Pierre Chaumet était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 45ème Bataillon de Chars de Combat de la Gendarmerie en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 21 ans.

La 82ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école du Mans (2003) porte le nom du GRD Chaumet.

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Fernand Robiche 12 juin 1940

Garde Fernand Robiche, tué en service commandé
 à l'âge de 25 ans. Durant la seconde guerre
 mondiale, est tombé à la défense de
 la Patrie, Victime du Devoir.

Le 12 juin 1940 à Suippes (51), mécanicien de char Hotchkiss H39 engagé dans les combats avec les forces allemandes au bois de la Hure, le Garde Fernand Robiche est tué dans son char en soutenant une lutte acharnée contre des blindés lourds.

Né le 16 mars 1915 à Montreuil-le-Chétif (72), le Garde Fernand Robiche était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 45ème Bataillon de Chars de Combat de la Gendarmerie en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile de vermeil). Il avait 25 ans.

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Michel Acin-Sanchez 12 juin 1940

Le 10 juin 1940 à Matougues (51), au cours d'un transport à bord d'un train militaire, le Maréchal des Logis-Chef Michel Acin-Sanchez est gravement blessé dans un bombardement de l'aviation allemande. Évacué à l'hôpital complémentaire de régional de Troyes (10), le sous-officier succombe à ses blessures le 12 juin 1940.

Né le 06 décembre 1909 à Ance devenu Ance Féas (64), le Maréchal des Logis-Chef Michel Acin-Sanchez était affecté à la 11ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 47ème Régiment d'Infanterie (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 30 ans.

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René Baumann 12 juin 1940

Le 12 juin 1940 à Châlons-en-Champagne (02), chargé d'une récupération de munitions lors de l'assaut des forces allemandes sur la ville, le Garde René Baumann est attaqué par l'ennemi au retour de mission alors qu'il circule en camion. Contraint d'abandonner son véhicule en flammes, a été tué en tentant de rejoindre les lignes françaises.

Né le 17 octobre 1911 à Kingersheim (68), le Garde René Baumann était affecté à la 1ère Légion de la Garde Républicaine Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 28 ans.

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Marcel Biétry 12 juin 1940

Garde Marcel Biétry, tué en service commandé
 à l'âge de 28 ans. Durant la seconde guerre
 mondiale, est tombé à la défense de
 la Patrie, Victime du Devoir.

Le 12 juin 1940 à Prosnes (51), chargé d'établir la liaison entre les escadrons sur la ligne de front et le poste de commandement de son unité, le Garde Marcel Biétry est tué en mission au cours d'un engagement avec l'ennemi.

Né le 06 août 1911 à Beaucourt (90), le Garde Marcel Biétry était affecté à la 7ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 10ème GRCA (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec étoile d'argent). Il avait 28 ans.

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