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Patrick Hervé et Yannick Pierre 11 avril 2023

Adjudant Patrick Hervé (à gauche) et Gendarme Yannick Pierre (à droite), décédés en service
 commandé à l'âge de 59 et 25 ans. Tentant de rattraper un automobiliste en infraction
 pour procéder à son contrôle, ont trouvé la mort dans un accident
 de la route, Victimes du Devoir.

Le mardi 11 avril 2023 peu avant 16 heures à Sabres (40), prévenue par un gendarme qui effectue des contrôles vitesse avec un cinémomètre, une patrouille de Gendarmerie composée de deux militaires s'engage sur une longue ligne droite de la route départementale 44 et tente d'intercepter un véhicule en grand excès de vitesse lorsqu'elle entre en collision, dans des circonstances qui restent à établir, avec la remorque d'un tracteur agricole à l'intersection avec la route des Trois-Ponts. L'Adjudant Patrick Hervé (passager) et le Gendarme Yannick Pierre (conducteur) sont très gravement blessés dans l'accident. Malgré l'intervention des secours, l'Adjudant Hervé décède sur les lieux. Héliporté vers le CHU de Bordeaux (33), le Gendarme Pierre succombe quant à lui à ses blessures dans la journée du 12 avril 2023. Physiquement indemne, l'agriculteur impliqué dans l'accident est fortement choqué.

Identifié quelques jours plus tard, l'automobiliste en infraction est auditionné, déclarant ne pas avoir vu les gendarmes qui voulaient l'intercepter. Enquête en cours.

Né en juillet 1963 à La Réole (33), l'Adjudant Patrick Hervé était affecté à la Compagnie de Réserve Territoriale 40/3 de Mont-de-Marsan (40) depuis 2021. Intégrant l'institution en 1982 en tant que gendarme auxiliaire, sorti sous-officier de l'ESOG de Châtellerault en 1984, il est affecté 6 ans à l'EGM 6/11 de La Réole puis 10 ans à la BMO de Mont-de-Marsan. En 2000, il est affecté à la BMO de Biscarrosse (40) où il y restera jusqu'à son départ en retraite en 2021, après 39 ans de services. A peine retraité, il rejoint la réserve opérationnelle. En 2001 et 2002, il était parti en OPEX en Centrafrique puis en Afghanistan. Déjà décoré de la Croix du Combattant, de la Médaille Commémorative Française (agrafe Afghanistan), de la Médaille de Reconnaissance de la Nation, de la Médaille de la Défense Nationale (échelon or) et de la Médaille de Protection Militaire du Territoire (agrafe Trident). Marié et père de deux enfants, il avait 59 ans.

Né en juillet 1997 à Pau (64), le Gendarme Yannick Pierre affichait 6 ans de services et était affecté au Peloton Motorisée de Labouheyre (40) depuis 2022. Devenu gendarme adjoint volontaire en 2017, il est affecté 3 ans au PSIG de Vinca (66) puis 1 an à la BT de Sainte-Bazeilles (47). Sorti sous-officier de l'ESOG de Dijon en mai 2022, il rejoint alors le PMO de Labouheyre. Déjà décoré de la Médaille de la Défense Nationale (échelon bronze) et de la Médaille de Protection Militaire du Territoire (agrafe Trident). Pacsé sans enfant, il avait 25 ans.

(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

Christophe Pensec 26 août 2019

Major Christophe Pensec, décédé à l'âge de 47 ans.
 A trouvé la mort de manière naturelle lors d'un
 déplacement pour la sécurisation d'un
 sommet économique.
Le 26 août 2019 à Seignosse (40), en déplacement pour la sécurisation du G7 de Biarritz (64), le Major Christophe Pensec décède durant son sommeil dans le lieu où il était logé pour la nuit.

Né le 27 septembre 1971 à Cherbourg (50), le Major Christophe Pensec affichait 26 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Gacé (61) depuis 2 ans. Il était décoré de la Médaille de la Défense Nationale (échelon or) et de la Médaille de Protection du Territoire (agrafe trident). Marié et père de trois enfants, il avait 47 ans.

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Daniel Crouzil 20 octobre 2010

Gendarme Daniel Crouzil, décédé en service commandé
 
à l'âge de 50 ans. En patrouille de sécurisation à
 l'occasion d'une reconstitution judiciaire
 sensible, a trouvé la mort dans
 un accident de la route.
Le mercredi 20 octobre 2010 à Bourriot-Bergonce (40), chargé de surveiller les abords du camp militaire de Captieux (33) où se déroulait la reconstitution d'un attentat meurtrier survenu en 2005 au Liban, le Gendarme Daniel Crouzil circule au guidon d'une moto tout-terrain et traverse une intersection peu fréquentée lorsqu'il est gravement blessé dans une collision accidentelle avec une voiture. Héliporté au CHU de Bordeaux (33), le sous-officier succombe à ses blessures le jour même.

Éventuelles suites judiciaires ignorées.

Né le 15 juillet 1960 à Miremont (31), le Gendarme Daniel Crouzil affichait 31 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Motorisée de Saint-Sever (40) depuis 2008. Décoré de la Médaille Militaire et cité par le passé, il avait été blessé en service plusieurs fois. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Maréchal des Logis-Chef. Marié, père de deux enfants âgés de 11 et 14 ans, il avait 50 ans.

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Jean-Louis Blasco 1er août 1994


Le 1er août 1994 vers 05 heures à Biscarrosse (40), une patrouille de Gendarmerie s'arrête à la vue d'un véhicule accidenté en bordure de la route départementale 146. Les gendarmes s'assurent de l'état du conducteur et ce dernier repart après quelques minutes. Régulant le trafic entretemps, l'Élève-Gendarme Jean-Louis Blasco s'apprête à quitter les lieux avec ses camarades lorsqu'il fait des signaux avec sa lampe à une voiture qui surgit à vive allure. Freinant brusquement, cette dernière vient déparer sur la chaussée humide avant d'heurter mortellement l'EG Blasco.

L'automobiliste ayant perdu le contrôle de sa voiture (21 ans) est placé en garde à vue avant d'être libéré sous contrôle judiciaire le jour même. Suites judiciaires ignorées.

Né le 18 mai 1959 à Alger (Algérie), l’Élève-Gendarme Jean-Louis Blasco affichait 2 ans de services. En formation à l'ESOG de Montluçon (180ème promotion), il était détaché pour un renfort estival à la Brigade Territoriale de Biscarrosse. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze). Fils de gendarme, marié et père d'une fille âgée de 4 ans, il avait 35 ans.

La 317ème promotion de sous-officiers de la Gendarmerie de l'école de Châtellerault (2004) porte le nom de l'EG Blasco.

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Claude Hunault et Didier Joly 17 avril 1991


Le 17 avril 1991 à Trensacq (40), l'Adjudant-Chef Claude Hunault et le Maréchal des Logis-Chef Didier Joly trouvent la mort en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 24 janvier 1940 au Havre (76), l'Adjudant-Chef Claude Hunault était affecté au Commandement de la Gendarmerie de l'Air. Il avait 51 ans.

Né le 05 mai 1954 à Lens (62), le Maréchal des Logis-Chef Didier Joly était sorti de l'ESOG de Montluçon (15ème promotion) et était également affecté au CGA. Il avait 36 ans.

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Roger Buschmann 25 août 1987

Gendarme Roger Buschmann, tué en service commandé
 à l'âge de 37 ans. Alors qu'il procédait au contrôle d'un
 couple après avoir été intrigué par leur véhicule, a
 été confronté à un terroriste lié au nationalisme
 basque, déjà auteur de l'assassinat de deux
 policiers et du meurtre d'un gendarme.
 Son camarade blessé, est tombé
 sous les balles en tentant de
 riposter, Victime du Devoir.
Le 25 août 1987 vers 17 heures à 
Biscarrosse (40),
 une patrouille de Gendarmerie circule sur le chemin de Maguide et remarque la présence d'une Renault 4L, immatriculée dans les Pyrénées-Atlantiques et stationnée en bordure d'un étang. Intrigués par ce véhicule bien que ne sachant pas encore qu'il avait été volé, les gendarmes s'arrêtent à proximité et constatent qu'un couple s'approche.


Le Maréchal des Logis-Chef Guy Chevanton (42 ans) et le Gendarme Roger Buschmann décident de procéder à un contrôle d'identité. Les deux personnes font mine d'obtempérer mais l'homme demande à récupérer ses papiers qui seraient dans la 4L. L'individu se penche alors à l'intérieur de l'habitacle et saisit un pistolet laissé dans la boite à gants. Le Maréchal des Logis-Chef Chevanton aperçoit la scène et se jette sur l'homme pour le ceinturer. Celui-ci parvient cependant à se débattre, usant de son arme sans aucune hésitation. Tandis que son chef de patrouille s'effondre gravement atteint par un tir à bout touchant, le Gendarme Buschmann dégaine son arme pour répliquer lorsqu'il est mortellement frappé au thorax par 3 balles. La compagne du tireur dissuade ce dernier d'achever le premier sous-officier blessé qui survivra. Le duo de criminels prend la fuite quand Richard Galtié (34 ans), commissaire de police en vacance dans la région, poursuit leur 4L avec son véhicule personnel. Dans l'espoir de voir arriver des renforts, le témoin va même jusqu'à la percuter, parvenant ainsi à l'immobiliser. La 4L accidentée, les fugitifs forcent des touristes à leur abandonner une Ford Sierra. Non armé et explicitement menacé, le policier est finalement contraint de cesser la poursuite. Évitant les barrages dressés dans les minutes qui suivent, la Sierra sera retrouvée quelques heures plus tard à Bordeaux (33).

Le tireur est rapidement identifié comme étant Philippe Bidart (34 ans), chef du groupuscule terroriste Iparretarrak, recherché notamment pour l'assassinat des Gardiens de la Paix Bouyer et Roussarie le 19 mars 1982 et le meurtre du Gendarme Giummarra le 07 août 1983.

Le 20 février 1988 au Boucau (64), Bidart est interpellé par le GIGN après avoir été localisé par la SR de Bayonne (64). Jugé, il est condamné une première fois en 1992 à la réclusion criminelle dite à perpétuité pour l'embuscade ayant coûté la vie des Gardiens de la Paix Bouyer et Roussarie puis condamné une seconde fois en 1993 à la même peine pour le meurtre du Gendarme Buschmann. En 2000, le terroriste est à nouveau condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour complicité de meurtre sur le Gendarme Giummarra. N'ayant jamais exprimé le moindre remord ni même reconnu ses actes, le criminel bénéficie d'une liberté conditionnelle dès 2007 après 19 ans de détention.

Arrêtée en décembre 1988, Lucienne Fourcade (26 ans), compagne et complice de Bidart, sera quant à elle condamnée à 1 an de prison.

Né le 22 mars 1950 au Châtelet-sur-Retourne (08), le Gendarme Roger Buschmann était affecté à la Brigade Territoriale de Biscarrosse. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire, la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze) et est cité à l'Ordre de la Nation. Marié, père d'un garçon de 9 ans et d'une fille de 5 ans, il avait 37 ans.

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Yves Giummarra 07 août 1983

Gendarme Yves Giummarra, tué en service commandé
 à l'âge de 31 ans. Sur appel d'un témoin, s'est transporté
 dans un camping où logeaient des individus recherchés
 et a repéré le véhicule à bord duquel ces derniers
 s'enfuyaient. Contraint d'agir avant l'arrivée des
 renforts, a été confronté à trois terroristes liés
 au nationalisme basque dont un était déjà
 auteur de l'assassinat de deux policiers.
 Pris sous le feu avec son camarade
 blessé, est tombé sous les balles
 en ripostant
, Victime du Devoir.
Le dimanche 07 août 1983 vers 19 heures à Léon (40), prévenue qu'un témoin a reconnu des individus liés au terrorisme basque, une patrouille de Gendarmerie se transporte jusqu'à un camping situé route du PuntaouÀ leur arrivée sur place, les militaires constatent que quatre hommes quittent les lieux à bord d'une Renault 4L immatriculée dans les Pyrénées-Atlantiques. L'attention portée sur cette voiture, les Gendarmes Yves Giummarra et Jean-Pierre Plouzeau sollicitent des renforts à la radio et décident de la suivre à bonne distance, ignorant encore l'identité de ses occupants. La 4L amorce un demi-tour, le véhicule sérigraphié fait de même. De part et d'autre, il n'y a plus aucun doute.

Revenant sur ses pas, la 4L se stationne à proximité du même camping tandis que le véhicule de Gendarmerie s'arrête quelques mètres derrière. Préparés au pire, les deux sous-officiers mettent pied à terre et ordonnent aux occupants de descendre un par un les mains en l'air lorsque le conducteur armé s'enfuit en courant en direction des bois environnants. Dissimulant chacun des pistolets de calibre 9 mm, les trois passagers font quant à eux mine d'obtempérer mais ils commencent à s'éparpiller autour des gendarmes. Hésitants, les militaires crient des sommations pour tenter de les dissuader mais une quinzaine de coups de feu s'abattent sur eux en quelques secondes. Positionné derrière un arbre, le Gendarme Giummarra réplique avec plusieurs tirs et cherche probablement à éviter un encerclement lorsqu'il est mortellement atteint de plusieurs balles dont l'une l'a atteint en plein cœur. Le Gendarme Plouzeau riposte pour sa part à 2 reprises avant d'en devenir incapable, sa main droite mutilée par un projectile puis son arme récupérée par un des criminels qui l'assomme au passage avec un bout de bois. Les trois tireurs s'emparent du véhicule de Gendarmerie pour prendre la fuite. À Saint-Michel-Escalus (40), les meurtriers abandonnent l'automobile trop visible pour prendre possession d'une Simca 1100, expulsant son propriétaire sous la menace des armes. Malgré la mise en place d'un important dispositif, la trace des fugitifs (qui laissent derrière eux armes, munitions ainsi qu'explosifs) est perdue à Saint-Vincent-de-Paul (40) où le véhicule volé sera retrouvé 6 jours plus tard camouflé dans la végétation.

Les enquêteurs obtiennent cependant une importante pièce à conviction, la fusillade ayant été filmée par un vacancier. Le conducteur de la 4L, Jean-Louis Larre, ainsi que les trois passagers, Philippe Bidart, Gabriel Mouesca et Joseph Etcheveste, sont rapidement identifiés comme des membres du groupuscule terroriste Iparretarrak qui multiplie à cette époque les attentats à l'explosif et les vols à main armée. Introuvable depuis 3 ans, Bidart était déjà activement recherché pour l'assassinat des Gardiens de la Paix Jackie Bouyer et Bernard Roussarie, tués par balles dans une embuscade le 19 mars 1982.

Le 1er mars 1984, Mouesca sera interpellé à Bayonne (64) par la Police Nationale. Au cours de l'arrestation, Mouesca ayant brandit un pistolet, un policier ouvre le feu en situation de légitime défense et une balle perdue vient blesser mortellement un autre membre d'Iparretarrak qui n'était pas armé. Jugé par la Cour d'Assises Spéciale de Paris (75) et condamné notamment pour le meurtre du GND Giummarra, Mouesca sera libéré en juillet 2001, après 17 ans de détention (avec une période d'évasion de 1986 à 1987).

Le 25 août 1987 à Biscarrosse (40), contrôlé de manière fortuite par une patrouille de Gendarmerie, Bidart ouvre à nouveau le feu. Le Gendarme Buschmann est tué par balles tandis que le Maréchal des Logis-Chef Chevanton, gravement blessé, manque de peu d'être achevé.

Le 20 février 1988, Bidart et Etcheveste sont finalement localisés au Boucau (64) par la SR de Bayonne. À cette occasion, Etcheveste brandit une arme avant d'être neutralisé par le tir d'un gendarme du GIGN. Devenu paraplégique du fait de cette blessure, le meurtrier sera gracié en 1993 sur décision du Président de la République, après 5 ans de détention.

Chef de l'organisation, Bidart est condamné par deux fois, en 1992 et 1993, à la réclusion criminelle dite à perpétuité pour les assassinats des GPX Bouyer et Roussarie (1982) ainsi que pour le meurtre du GND Buschmann (1987). En 2000, le terroriste est condamné une nouvelle fois à 20 ans de réclusion criminelle par la Cour d'Assises Spéciale de Paris pour le meurtre du GND Giummarra (1983). Il bénéficiera d'une liberté conditionnelle dès 2007, après 19 ans de détention.

Larre, le conducteur de la 4L qui s'était échappé en courant à travers les bois, n'a jamais été retrouvé et il est porté disparu depuis le 07 août 1983.

Né le 30 mai 1952 à Tunis (Tunisie), le Gendarme Yves Giummarra affichait 8 ans de services dans la Gendarmerie, était affecté à la Brigade Territoriale de Montfort-en-Chalosse (40) et détaché en renfort estival au Poste Provisoire de Léon. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze). Marié, père de deux filles âgées de 6 et 3 ans, il avait 31 ans.

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Jean-Marie Stevenin 1er août 1982

Le 1er août 1982 à Moliets-et-Maa (40), alors qu'il intervenait sur les lieux d'un accident de la route, le Maréchal des Logis-Chef Jean-Marie Stevenin trouve la mort, accidentellement fauché par un automobiliste.

Né le 03 avril 1945 à Boutancourt devenu Flize (08), le Maréchal des Logis-Chef Jean-Marie Stevenin était affecté à la Légion de Gendarmerie d'Aquitaine. Il avait 37 ans.

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Guy Bayle 24 avril 1978

Le mardi 18 avril 1978 à Bénesse-Maremne (40), alors qu'il intervenait de nuit sur la route nationale 10 (devenue route départementale 810) pour porter assistance au chauffeur d'un poids-lourd en difficulté, l'Adjudant Guy Bayle est très gravement blessé en tentant désespérément d'éviter une collision provoquée par un second poids-lourd. Évacué vers un hôpital de Bayonne (64), il succombe le 24 avril 1978.

Né le 1er octobre 1936 à Bordeaux (33), l'Adjudant Guy Bayle était affecté à la Brigade Territoriale de Dax (40). À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 41 ans.

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Roger Bes 15 novembre 1973

Le 15 novembre 1973 à Biscarrosse (40), le Gendarme Roger Bes décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 26 mai 1923 à Foulayronnes (47), le Gendarme Roger Bes était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie d'Aquitaine. Il avait 50 ans.

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Jean-Marie Mouras 02 juillet 1970

Le 02 juillet 1970 à Mont-de-Marsan (40), le Gendarme Jean-Marie Mouras décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 28 novembre 1940 à Saint-Palais (64), le Gendarme Jean-Marie Mouras était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie d'Aquitaine. Marié, il avait 29 ans.

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