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Antoine Beliard 04 janvier 2018

Le 04 janvier 2018 à Paris (75), l'Adjudant-Chef Antoine Beliard décède en service dans des circonstances ignorées.

Né le 11 juin 1977 à Parthenay (79), l'Adjudant-Chef Antoine Beliard était affecté à la Direction du Renseignement et de la Sécurité de la Défense à Malakoff (92). Il avait 40 ans.


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Jean Marc Pehourcq 26 avril 1990


Le 26 avril 1990 à Paris (75), lors d'une séance d'entrainement physique, le Lieutenant Jean-Marc Pehourcq décède dans des circonstances ignorées.

Né 09 février 1962 au Puy-en-Velay (43), le Lieutenant Jean-Marc Pehourcq était affecté à la Légion de Gendarmerie Mobile d'Île-de-France. Il avait 28 ans.

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Gérard Foubert 28 mai 1987


Le 28 mai 1987 à Paris (75), le Garde Gérard Foubert trouve la mort en service commandé dans un accident de moto.

Né le 29 juillet 1941 à Carcassonne (11), le Garde Gérard Foubert était affecté à l'Escadron Motocycliste de la Garde Républicaine à Drancy (93). Il avait 45 ans.

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Jean-Albert Ulmann 16 octobre 1984


Le 11 octobre 1984 à Paris (75), lors d'une séance d'équitation, le Garde Jean-Albert Ulmann est gravement blessé par une chute sur la piste cavalière du quartier Carnot. Évacué vers un hôpital de la ville, il succombe à ses blessures le 16 octobre 1984.

Né le 14 avril 1951 à Paris, le Garde Jean-Albert Ulmann était affecté au Régiment de Cavalerie de la Garde Républicaine. Il avait 33 ans.

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Yves Mocaer 1er février 1979

Gendarme Yves Mocaer, tué en service commandé
 à l'âge de 30 ans. En surveillance générale dans le
 métro
 parisien, a prêté main-forte au personnel de
 la RATP face à un resquilleur récalcitrant. Attaqué
 par l'individu qui s'avérait armé, a ouvert le feu
 avec une grande retenue pour tenter de se
 dégager. Atteint par une multitude de
 coups de couteau, est tombé
 
Victime du Devoir.
Le 1er février 1979 vers 15 heures à Paris (75), l'agent RATP Jean-Claude Lambert surprend un homme qui escalade un portillon dans la station de métro Montparnasse - Bienvenüe. Confronté à un fraudeur qui se montre rapidement très agressif et qui refuse de présenter ses papiers d'identité, l'employé RATP relate les faits à des gendarmes mobiles passant à proximité en patrouille pédestre.

Le Gendarme Yves Mocaer et ses deux camarades décident d'accompagner l'agent RATP qui invite le contrevenant à le suivre dans un bureau pour dresser un procès-verbal. Tout juste arrivé devant la porte du local, l'individu exhibe brusquement un couteau qu'il dissimulait jusqu'alors, portant plusieurs coups au contrôleur avant de se jeter sur le militaire qui dégaine son arme et riposte en faisant preuve d'une extrême retenue malgré les circonstances, visant uniquement les jambes de son agresseur. Blessé au bout du troisième tir, le criminel parvient cependant à asséner deux nouveaux coups à l'abdomen de sa victime avant d'être finalement maîtrisé par les autres gendarmes mobiles qui se trouvaient un peu plus loin. Très gravement atteint, le Gendarme Mocaer s'effondre après quelques secondes, succombant à une importante hémorragie avant l'arrivée des secours. Grièvement blessé, l'agent Lambert survivra.

Remis à la Police Nationale, l'auteur des faits feint l'amnésie et s'étonne de la situation. Les examens révèlent qu'il n'était ni ivre ni sous l'influence d'un quelconque produit stupéfiant. Coupable au départ que d'une simple contravention, Marc-Daniel Guilbaud (28 ans), haïtien en situation régulière, est inculpé puis placé en détention préventive pour meurtre d'un agent de la force publique, tentative de meurtre sur un agent chargé d'une mission de service public ainsi que pour port prohibé d'arme. C'est avec aberration que l'on apprend que cet inquiétant personnage était bel et bien en possession d'un titre de transport valable qu'il n'a jamais voulu présenter. En garde à vue, il avouera avoir voulu « frauder par jeu » et avoir acheté l'arme du crime une heure plus tôt, pour l'offrir à un ami prétendra-t-il. Suites judiciaires ignorées.

Né le 14 juin 1948 à Plonévez-Porzay (29), le Gendarme Yves Mocaer affichait 5 ans de services et était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 5/3 d'Aubervilliers (93). À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Maréchal des Logis-Chef. Il avait 30 ans.


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Guy Kremski 13 août 1977

Le 13 août 1977 à Paris (75), le Gendarme Guy Kremski décède des suites de blessures reçues en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 16 juin 1954 à Cuinchy (62), le Gendarme Guy Kremski était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie du Nord-Pas-de-Calais. Il avait 23 ans.

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Georges Culot 07 février 1973

Le 07 février 1973 à Paris (75), le Maréchal des Logis-Chef Georges Culot décède des suites de blessures reçues en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 17 mars 1925 à Saint-Symphorien devenu Tours (37), le Maréchal des Logis-Chef Georges Culot était affecté au Commandement de la Gendarmerie Mobile en Région Parisienne. Il avait 47 ans.

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Daniel Quenouille 06 novembre 1972

Le 06 novembre 1972 à Paris (75), le Gendarme Daniel Quenouille décède des suites de blessures reçues en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 1er mars 1940 à Lucy (76), le Gendarme Daniel Quenouille était affecté au Commandement de la Gendarmerie Mobile en Région Parisienne. Il avait 32 ans.

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André Comelongue 13 janvier 1972

Le 13 janvier 1972 à Paris (75), le Gendarme André Comelongue trouve la mort en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 04 octobre 1937 à Ségura (09), le Gendarme André Comelongue était affecté au Commandement de la Gendarmerie Mobile en Région Parisienne. Il avait 34 ans.

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Claude Legros 20 février 1962

Le 18 février 1962 vers 15 heures à Paris (75), un commando de l'OAS parvient à s'introduire dans l'Hôpital d'Instruction des Armées du Val-de-Grâce. Au moins deux hommes, dissimulant une mitraillette et une arme de poing, se présentent devant la porte de chambre de Yves Le Tac. Ce dernier, proche de Charles de Gaulle, est hospitalisé après une seconde tentative d'assassinat par l'OAS et il bénéficie depuis de la protection d'un détachement de Gendarmerie Mobile.

Assis sur une chaise, le Gendarme Claude Legros est chargé de monter la garde devant la porte. Surpris, il n'a pas le temps de sortir son arme. 
Le sous-officier refuse malgré tout la reddition, il crie pour alerter ses camarades et bondit sur l'un des assaillants avant d'en payer le prix fort, s'écroulant sous les balles tirées à bout portant. Les autres gendarmes sortent rapidement d'une chambre attenante à celle de la cible et une intense fusillade éclate aussitôt. La riposte des forces de l'ordre blesse Robert Labroche (22 ans) qui est interpellé dans la foulée. Jean-Louis Perret (24 ans) est arrêté sans résistance peu après dans l'enceinte de l'hôpital militaire, débarrassé de son arme qui est rapidement retrouvée. Très gravement atteint, le Gendarme Legros est immédiatement pris en charge mais il succombera à ses blessures le 20 février 1962.

Dans les jours suivants, trois autres auteurs sont identifiés puis interpellés. Il s'agit de Jean-Pierre Grenette (23 ans), Bernard Lenormand (22 ans) et Jean-François Colin (23 ans). 
Fin mars 1962 et début avril 1962, Marc Robin et Daniel Godot sont arrêtés et désignés comme les chefs du commando. La plupart sont d'anciens militaires ayant servi en Algérie. 

Jugés devant un tribunal militaire à l'été 1962, Godot et Robin sont condamnés à 20 ans de réclusion criminelle tandis que les cinq autres accusés écopent de peines allant de 5 à 12 ans de réclusion criminelle. Tous seront finalement amnistiés entre 1964 et 1968, au même titre que tous les membres de l'OAS.

Né le 23 septembre 1934 à Saint-Jouin-Bruneval (76), le Gendarme Claude Legros affichait 3 ans de services et était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 8/2 du Havre (76). À titre exceptionnel, il reçoit la Médaille Militaire et de la Médaille de la Gendarmerie. Marié sans enfant, il avait 27 ans.


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Albert Bertrand 20 février 1958

Gendarme Albert Bertrand, tué en service commandé
 à l'âge de 29 ans. Alors qu'il était parvenu seul à repérer
 les auteurs d'un attentat dans le contexte de la guerre
 d'Algérie, est tombé sous les balles en tentant de
 procéder aux arrestations, Victime du Devoir.
Le 20 février 1958 vers 19 heures 30, dans le 19ème arrondissement de Paris (75), trois individus se réclamant du MNA s'approchent de la terrasse d'un café en exhibant des armes de poing et ouvrent le feu sur deux clients attablés. L'une des victimes est tuée sur le coup tandis que la seconde est très grièvement blessée. Témoin des faits, Gérard Bouet (20 ans) poursuit courageusement les tireurs qui font aussitôt volte-face, le blessant très gravement de 4 balles.

En patrouille non loin de là, des gendarmes accourent sur les lieux de l'attentat en entendant les coups de feu. Tandis que le Gendarme Léon Ruelle se rend directement à l'établissement ciblé, le Gendarme Albert Bertrand remarque deux hommes qui s'engouffrent précipitamment dans la station de métro Bolivar. Intrigué, le militaire décide de suivre cette piste qui le mène en effet vers deux des auteurs de l'attaque. Fusil braqué sur eux, les deux hommes font mine d'obtempérer face au GND Bertrand qui leur ordonne de lever les mains en l'air. Voulant procéder à une fouille, le sous-officier cherche à rejoindre son camarade lorsqu'il sort du métro avec les deux terroristes toujours sous le joug du fusil. L'un de ces derniers profite alors d'une diversion de l'autre pour se saisir furtivement du pistolet qu'il dissimulait sous sa veste, ouvrant le feu dans le dos du Gendarme Bertrand qui s'effondre mortellement atteint par 4 balles. Là encore, parmi les passants, François Genne (22 ans) tente d'intervenir lorsqu'il est blessé d'une balle.

Dans les minutes qui suivent, les renforts arrivés en nombre procèdent à l'arrestation de Messaoud Bellah, porteur d'un pistolet. Les expertises démontrent que l'arme est la même que celle utilisée au café puis à la sortie de métro et possiblement la même utilisée pour l'assassinat d'un fonctionnaire ainsi que la tentative de meurtre sur un policier 5 mois plus tôt. Le mis en cause est inculpé et placé en détention préventive. Quelques jours plus tard, Areski Ibouchoukene (27 ans) est interpellé par des agents de la Préfecture de Police de Paris et il est lui aussi inculpé et écroué. 
Suites judiciaires ignorées. Quoiqu'il en soit, tous les membres du MNA et du FLN seront amnistiés en 1962.

Né le 19 janvier 1929, le Gendarme Albert Bertrand était affecté à la 1ère Légion bis de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 29 ans.

La 355ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (2016) porte le nom du GND Bertrand.

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Lucien Esparcieux 30 octobre 1956

Le 30 octobre 1956 à Paris (75), le Gendarme Lucien Esparcieux décède en service commandé dans un accident de moto.

Né le 18 mars 1912 à Ranchot (39), le Gendarme Lucien Esparcieux était affecté à la 1ère Légion de Gendarmerie Départementale. Marié, père de deux enfants âgés de 11 et 20 ans, il avait 44 ans.

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Jean Conte 16 janvier 1940

Le 16 janvier 1940 à Paris (75), à l'Hôpital d'Instruction des Armées du Val-de-Grâce, le Garde Jean Conte décède dans des circonstances ignorées.

Né le 31 décembre 1908 à Eslourenties-Daban (64), le Garde Jean Conte était affecté à la Légion de la Garde Républicaine de Paris. Il avait 31 ans.

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