Mémorial en ligne recensant les gendarmes français morts en service commandé / morts pour la France / morts en raison du service.
Information importante :
Gérard Olivier 25 juin 2009
Né le 11 février 1956 à Toulouse (31), le Lieutenant Gérard Olivier était affecté à la Brigade Départementale de Renseignements et d'Investigations Judiciaires d'Avignon (84). Il avait 53 ans.
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Jean Alves 27 mars 2003
La 305ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (2011) porte le nom du MAJ Alves.
Patrick Raymond 26 septembre 2002
Né le 11 février 1959 à Paris (75), le Gendarme Patrick Raymond affichait 25 ans de services. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire. Il avait 43 ans.
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Romain Jouannic 12 août 1999
Né le 04 mai 1972 à Croix (59), l’Élève-Gendarme Romain Jouannic était affecté à l'École de Gendarmerie du Mans (72) et détaché en renfort estival à la Brigade Territoriale de Rousset-sur-Arc (13). Il avait 27 ans.
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Jean-Luc Zorzi 14 novembre 1997
Le 14 novembre 1997 à Marseille (13), le Gendarme Jean-Luc Zorzi décède en service commandé dans des circonstances inconnues.
Né le 15 décembre 1956 à Larzac (24), le Gendarme Jean-Luc Zorzi était sorti de l'ESOG de Montluçon (24ème promotion). Il avait 40 ans.
Daniel Pons 26 juin 1992
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Yves Caldié 25 octobre 1986
Maréchal des Logis-Chef Yves Caldié, décédé en service commandé à l'âge de 38 ans. A été mortellement blessé dans un accident de la route. |
Né le 10 juillet 1948 à Montpellier (34), le Maréchal des Logis-Chef Yves Caldié était affecté à la Légion de Gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d'Azur. Marié et père de famille, il avait 38 ans.
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Jean-François Parratte et Jean Vermant 10 novembre 1972
Le vendredi 10 novembre 1972 au matin à Beaurecueil (13), les Gendarmes Jean-François Parratte et Jean Vermant requièrent un serrurier pour pénétrer dans l'appartement qu'occupait Jean Pica (55 ans). La veille, cet homme se suicidait après avoir gravement blessé de deux balles de pistolet le Maire de la commune, Julien Gautier. Les deux sous-officiers veulent entrer dans l'appartement du tireur pour procéder à une perquisition dans le cadre de l'enquête. La propriétaire du logement, Adrienne Narbone, et l'un de ses amis, monsieur Bourillon, sont également présents. La porte d'entrée du domicile s'ouvre à peine qu'une explosion détruit l'immeuble, ensevelissant toutes les personnes présentes sous les décombres. Les corps des victimes sont retirés avec précaution par les secouristes. Les Gendarmes Parratte et Vermant, le serrurier Albert Monnier (52 ans), madame Narbone (78 ans) et monsieur Bourillon (76 ans) ont tous été tués sur le coup, lâchement assassinés. Monsieur Spagneux, locataire dans l'immeuble et seul survivant, est quant à lui très gravement blessé.
L'enquête établira que Pica avait reçu un courrier d'expulsion, conséquence du fait qu'il n'avait jamais payé un seul loyer. Il avait fait l'objet de plusieurs plaintes par le passé et il refusait toutes les propositions de relogement. La veille du drame, utilisant ses connaissances acquises en tant qu'artificier, le criminel avait emmené sa mère chez des proches avant de piéger méthodiquement les lieux de fond en comble avec de la dynamite, de la cheddite et trois bouteilles de gaz. Le piège mortel mis en place, il partait ensuite à la recherche de l'élu du village, lui imputant tous ses malheurs.
Né le 06 avril 1945 à Besançon (25), le Gendarme Jean-François Parratte était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Provence-Côte d'Azur. Il avait 27 ans.
Né le 12 mai 1940 à Busseaut (21), le Gendarme Jean Vermant était également affecté à la CRG de Provence-Côte d'Azur. Il avait 32 ans.
Georges Bondoux 24 septembre 1972
Jean Menu 06 décembre 1954
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Clément Fauchier 24 mai 1950
Le 24 mai 1950 vers 05 heures, un agriculteur de Lambesc (13) contacte la brigade de Gendarmerie locale pour signaler la présence d'un homme pouvant être le malfaiteur de Salon-de-Provence. L'Adjudant Clément Fauchier et le Gendarme Célestin Buisson se transportent sur place à moto et repèrent l'individu désigné qui s'avère bel et bien être le meurtrier du policier. Poursuivi à pied dans la nuit, Ythier est rattrapé lorsqu'il fait soudainement volte-face pour vider le barillet de son revolver. L'Adjudant Clément Fauchier est mortellement atteint de 4 balles à bout portant tandis que son camarade, le Gendarme Célestin Buisson, parvient à riposter à plusieurs reprises bien que frappé par 2 projectiles.
Plusieurs centaines de policiers et gendarmes sont mobilisés, aidés d'habitants volontaires, afin d'inspecter les bois où la trace du criminel a été perdue. Ce dernier sera finalement débusqué et arrêté après une nouvelle fusillade qui ne fera pas de blessé dans la matinée du 25 mai 1950. Inculpé pour meurtres sur des agents de la force publique, Ythier est jugé en janvier 1951 devant la Cour d'Assises des Bouches-du-Rhône. Condamné à mort, il est guillotiné le 13 novembre 1951.
La 364ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (2016) porte le nom de l'ADC Fauchier. À Lambesc, une avenue porte également son nom.
Marceau Leplus 11 novembre 1940
Le 11 novembre 1940 à Marseille (13), le Gendarme Marceau Leplus décède en service commandé dans des circonstances ignorées.
Né le 26 janvier 1907 à La Bassée (59), le Gendarme Marceau Leplus était affecté à la Brigade Territoriale d'Istres (13). Marié et père de quatre enfants, il avait 33 ans.
Jean Bergougnoux 23 juin 1940
Le 21 juin 1940 à Marseille (13), dirigeant des civils vers des abris lors d'un bombardement de l'aviation italienne sur la ville, le Garde Jean Bergougnoux est gravement blessé par éclats de bombe. Évacué vers l'hôpital militaire Michel-Lévy, le sous-officier succombe à ses blessures le 23 juin 1940.
Né le 16 juin 1911 à Alvignac (46), le Garde Jean Bergougnoux était affecté à la 15ème Légion de la Garde Républicaine Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et fait l'objet d'une citation sans croix à « l'Ordre de la Légion ». Il avait 29 ans.