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Yves Trillaud 21 mars 1996

Gendarme Yves Trillaud, décédé en service commandé
 à 
l'âge
 de 53 ans. Alors qu'il tentait d'intercepter une
 automobiliste
 auteur d'un délit de fuite et d'un refus
 d'obtempérer, a
 trouvé la mort dans un accident
 de
 la route,
 Victime du Devoir.
Le 21 mars 1996 à Tours (37), au cours d'une patrouille de nuit, deux gendarmes repèrent une automobiliste qui vient de prendre la fuite après avoir causé un accident. Poursuivie et rattrapée, cette dernière refuse de s'arrêter. La patrouille de Gendarmerie tente de l'intercepter depuis plusieurs minutes lorsque le conducteur perd le contrôle du véhicule sérigraphié. Le Gendarme Yves Trillaud décède sur le coup dans l'accident tandis que le Gendarme Pierre Bethgnies est gravement blessé.

La conductrice en cause sera interpellée peu après par des renforts alors qu'elle avait abandonné sa voiture pour continuer sa fuite à pied. Suites judiciaires ignorées.

Né le 21 avril 1943 à Chatain (86), le Gendarme Yves Trillaud affichait 1 an de services dans l'Armée de Terre (33ème RA), 29 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Rapide d'Intervention de Chambray-lès-Tours depuis 1985. Déjà décoré de la Médaille Militaire, déjà cité notamment en 1986 pour l'interpellation d'un malfaiteur armé qui le menaçait, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Marié et sans enfant, il avait 53 ans.

La 333ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de Montluçon (2014) porte le nom du GND Trillaud.

(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

Gérard Coué 13 janvier 1988

Gendarme Gérard Coué, décédé à l'âge de 35 ans. 
Blessé par balles en service commandé alors qu'il
 tentait d'interpeller des malfaiteurs auteurs d'un
 braquage, a trouvé la mort 1 an et demi plus
 tard dans un accident de la route alors qu'il
 était transporté pour recevoir des soins
 nécessités par les graves séquelles
 dont il souffrait. A été emporté
 Victime du Devoir.
Le 23 mai 1986 à Pointe-Noire (Guadeloupe), une patrouille de Gendarmerie tente d'intercepter un véhicule volé monté par cinq malfaiteurs, auteurs la veille d'un vol à main armée dans une station service. 
Tandis que le conducteur refuse d'obtempérer, l'un des passagers ouvre le feu sur les poursuivants avec un fusil de chasse. Le Gendarme Gérard Coué est alors gravement atteint à la tête par deux projectiles qui ont traversé le pare-brise du véhicule sérigraphié.

Longuement hospitalisé et paralysé depuis la tentative de meurtre, le militaire recevra régulièrement des soins dans un hôpital de Paris (75). Le 13 janvier 1988 vers 11 heures 30 à Villeperdue (37), l'ambulance qui le transporte à l'hôpital heurte violemment une glissière de sécurité sur l'autoroute A10 après une perte de contrôle causée par l'éclatement d'un pneu. Éjecté du véhicule lors de l'accident, le Gendarme Coué décède sur le coup. Son épouse, qui l'accompagnait, est quant à elle blessée.

Suites judiciaires ignorées.

Né le 20 mars 1952 à Châteaubriant (44), le Gendarme Gérard Coué affichait 14 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Pointe-Noire depuis mai 1984. Déjà décoré de la Médaille de la Défense Nationale (échelon bronze), il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie à titre exceptionnel. Marié, père de trois enfants âgés de 3 à 12 ans, il avait 35 ans.

La caserne de la Brigade Territoriale de Pointe-Noire porte le nom du GND Coué depuis 2018.

(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

Patrice Bonoron 22 novembre 1985


Le 22 novembre 1985, vraisemblablement à Saint-Avertin (37), le Gendarme Patrice Bonoron décède après avoir été accidentellement fauché par un automobiliste alors qu'il régulait le trafic sur les lieux d'un accident de la route.

Suites judiciaires ignorées.

Vraisemblablement né le 05 octobre 1951 à Bourges (18), le Gendarme Patrice Bonoron était affecté à la Légion de Gendarmerie du Centre. Il avait 34 ans.

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Jean Nalywajko 22 octobre 1983

Le 22 octobre 1983 à Azay-le-Rideau (37), en service police route, le Maréchal des Logis-Chef Jean Nalywajko décède dans un accident de moto.

Né le 15 décembre 1949 à Chevagnes (03), le Maréchal des Logis-Chef Jean Nalywajko était affecté à la Légion de Gendarmerie du Centre. Il avait 33 ans.

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Bernard Ecale 22 septembre 1975

Le 22 septembre 1975 à Nazelles-Négron (37), le Gendarme Bernard Ecale décède en service commandé dans un accident de moto.

Né le 23 décembre 1945 à Melle (79), le Gendarme Bernard Ecale était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie du Centre. Il avait 29 ans.

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Gérard Vignais 19 septembre 1970

Le 19 septembre 1970 à Tours (37), le Gendarme Gérard Vignais décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 23 avril 1933 au Lion-d'Angers (49), le Gendarme Gérard Vignais était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie du Centre. Marié, il avait 37 ans.

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Jacques Depont 27 décembre 1967

Le 27 décembre 1967 à Sainte-Maure-de-Touraine (37), l'Adjudant Jacques Depont décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 28 octobre 1929 à Paris (75), l'Adjudant Jacques Depont était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 1/4 de Tours (37). Il avait 38 ans.

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André Baudiffier 06 octobre 1940

Le 06 octobre 1940 vers 08 heures 30 près de Joué-lès-Tours (37), chargé de convoquer un garde mobile en état de désertion, le Maréchal des Logis-Chef André Baudiffier, accompagné d'un camarade de son unité, se présente au domicile de l'intéressé.

Armé d'un pistolet, le déserteur ouvre le feu alors que pénètre à l'intérieur du logement le MDC Baudiffier. Ce dernier est mortellement atteint de trois balles à la poitrine tandis que son meurtrier se suicide immédiatement d'une balle dans la tête.

Né le 14 juin 1899 à Chef-Boutonne (79), le Maréchal des Logis-Cher André Baudiffier affichait au moins 12 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la 9ème Légion de la Garde Républicaine Mobile. Marié et père d'une fille âgée de 19 ans, il avait 41 ans.

(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

François Bléas 25 juin 1940

Le 21 juin 1940 à Saint-Flovier (37), son groupe étant encerclé et attaqué par les forces allemandes lors d'un transport en camion, le Maréchal des Logis-Chef François Bléas est gravement blessé par l'ennemi alors qu'il ripostait au fusil-mitrailleur. A succombé à ses blessures le 25 juin 1940 à Tours (37).

Né le 25 juillet 1907 à Landivisiau (29), le Maréchal des Logis-Chef François Bléas était affecté à la 9ème Légion de la Garde Républicaine Mobile et détaché au 54ème Bataillon de Mitrailleurs Motorisé (Armée de Terre) en raison de la guerre. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 39-45 (avec palme de bronze). Marié et père d'une fille, il avait 32 ans.

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