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Claude Ruocco 15 janvier 2022

Maréchal des Logis-Chef Claude Ruocco, décédé en service
 commandé à l'âge de 52 ans. A trouvé la mort à la suite
 d'un malaise cardiaque survenu au cours
 d'une séance de sport.
Le 08 janvier 2022 vers 11 heures à Dardilly (69), le Maréchal des Logis-Chef Claude Ruocco est pris d'un malaise cardiaque lors d'une séance de course à pied en service commandé. Secouru par des témoins puis pris en charge par le SAMU, le sous-officier est évacué vers un hôpital de Lyon (69) où il décède le 15 janvier 2022.

Né le 03 octobre 1969 à Décines-Charpieu (69), le Maréchal des Logis-Chef Claude Ruocco affichait 30 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté au Peloton de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie de Dardilly depuis juillet 2000. Marié et père d'une fille âgée de 12 ans, il avait 52 ans.

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Thierry Knoepflin 09 janvier 2018

Adjudant Thierry Knoepflin, décédé en service commandé
 à l'âge de 47 ans, victime d'une crise cardiaque.
Le 09 janvier 2018 à Villefranche-sur-Saône (69), l'Adjudant Thierry Knoepflin est pris d'un malaise cardiaque dans les locaux de son unité. Malgré l'intervention des secours, le sous-officier décède le jour même.

Né le 08 juillet 1970 à Bar-le-Duc (55), l'Adjudant Thierry Knoepflin affichait 28 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté au Peloton Autoroute de Villefranche-sur-Saône (69) depuis 5 mois. Décoré de la Médaille de la Défense Nationale (échelon or) et de la Médaille de la Protection Militaire du Territoire (agrafe trident), il avait également reçu un témoignage de satisfaction en 2016 pour avoir identifié les auteurs d'une tentative de meurtre sur des gendarmes. En concubinage et père de trois enfants, il avait 47 ans.

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Norbert Ambrosse 24 juin 2007

Chef d'Escadron Norbert Ambrosse, tué en service commandé à
 l'âge de 38 ans. Prévenu par les RG que des activistes d'extrême
 droite préparent un cambriolage dans un stand de tir, a organisé
 une opération pour interpeller les malfaiteurs en flagrant délit.
 Tentant de procéder à l'arrestation d'un des auteurs armés
 qui décidait d'ouvrir le feu pour y échapper, est
 tombé sous les balles, Victime du Devoir.
Le 22 juin 2007, le Groupement de Gendarmerie Départementale du Rhône est averti par la Direction Centrale des Renseignements Généraux (Police Nationale) qu'un cambriolage visant le stand de tir de Saint-Andéol-le-Château (69) est en préparation chez un groupuscule d'extrême droite qui cherche à récupérer armes et munitions. Une opération est organisée pour interpeller les auteurs sur le fait. Le dimanche 24 juin 2007 vers 00 heure 30, une quinzaine de gendarmes du MPPE*, commandés par le Chef d'Escadron Norbert Ambrosse, investissent les lieux du stand de tir qui, contrairement à ce que croyaient les cambrioleurs, ne contient ni arme ni munition.

Le Chef d'Escadron Ambrosse, qui devait avoir un rôle de coordination et qui n'avait donc pas pris son gilet par balle, repère un individu de dos se tenant sur le toit d'un bâtiment. Alors que l'officier se précipite vers lui arme à la main en criant des sommations, le malfaiteur distant de 5 ou 6 mètres se retourne et ouvre le feu avec un fusil de chasse, l'atteignant très gravement au thorax d'une balle de gros calibre. Transporté au CH de Givors (69), le CEN Ambrosse succombe à sa blessure le jour même vers 01 heure 30. Tentant de prendre la fuite, le meurtrier est interpellé dans les minutes qui suivent par les autres gendarmes, neutralisé par un tir de flash-ball. Deux de ses complices sont également arrêtés sur place tandis qu'un quatrième homme le sera dans la journée à Meylan (38).

Déjà condamné pour dégradations et violences avec arme, Florent Morat (23 ans) est mis en examen pour meurtre d'une personne dépositaire de l'autorité publique. Jugé devant la Cour d'Assises du Rhône en février 2010, il est condamné à 25 ans de réclusion criminelle avec une période de sûreté ignorée (il risquait la perpétuité). À l'issue du verdict, son père tente de suicider et est sauvé par un gendarme. Les complices, 
Alexandre Roussy (22 ans), Adrien Morat (20 ans) et Alexandre Arnaud (20 ans), mis en examen et placés en détention provisoire pour tentative de vol par effraction en bande organisée, sont également jugés en février 2010 et sont respectivement condamnés à 1, 2 et 1 an(s) de prison ferme. Ces derniers ressortent donc libres du palais de Justice, la période de détention provisoire ayant couvert leur peine.

Né le 22 septembre 1968 à Valence (26), le Chef d'Escadron Norbert Ambrosse affichait 17 ans de services dont 14 ans dans la Gendarmerie et était affecté au Groupement de Gendarmerie Départementale du Rhône depuis 2003 en tant qu'officier adjoint au commandement. Il avait été blessé en service début 2007, ayant reçu un coup de couteau en maîtrisant un forcené. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille de la Gendarmerie (avec palme de bronze) et est cité à l'Ordre de la Nation. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Lieutenant-Colonel. Marié, père de quatre enfants âgés de 3 à 12 ans, il avait 38 ans.


Une stèle sera apposée sur les lieux du drame au stand de tir de Saint-Andéol-le-Château. 


*MPPE : Militaires Plus Particulièrement Entraînés - un groupe créé en 1994 et dissout en 2007, qui s'occupait des interventions sensibles relevant de la compétence territoriale du GGD 69.


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Fabien Batista 27 novembre 2006

Gendarme Fabien Batista, tué en service commandé à l'âge
 de 
31 ans. Alors qu'il y intervenait dans le
 cadre d'un conflit
 de voisinage, a trouvé la mort
 dans l'effondrement d'un
 immeuble consécutif à l'explosion de bouteilles de gaz
 volontairement causé par un protagoniste.
 Est tombé 
Victime du Devoir.
Le lundi 27 novembre 2006 peu après minuit, le CORG du Rhône est contacté par des habitants de la rue de la République à Neuville-sur-Saône (69). Les appelants se plaignent de tapage et déclarent avoir eu une énième altercation avec leur voisin. Une patrouille de Gendarmerie se rend sur les lieux.

Arrivés sur place, les Gendarmes Fabien Batista et Laurent Marchand montent au deuxième étage de l'immeuble et frappent à la porte du mis en cause sans recevoir de réponse. 
Les militaires perçoivent cependant que l'individu tape sur quelque chose. Le bruit d'un sifflement se fait entendre et une odeur de gaz commence à se répandre. Conscients qu'un drame peut se produire à tout moment, le Gendarme Laurent Marchand va frapper aux portes des autres appartements afin d'évacuer les occupants tandis que le Gendarme Batista descend les escaliers et sort dehors pour utiliser la radio du véhicule de dotation, demandant l'intervention des Sapeurs-Pompiers. Quelques secondes seulement ne s'écoulent avant qu'une explosion se produise. Le bâtiment est grandement endommagé et les étages supérieurs sont détruits. À l'intérieur, le Gendarme Marchand et quatre habitants sont gravement blessés. Jacques Auger (52 ans) a quant à lui été tué sur le coup alors qu'il venait rassurer sa fille qui, demeurant dans l'immeuble, était effrayée par le voisin en question. À l'extérieur, la façade du bâtiment s'est écrasée sur le véhicule de Gendarmerie. Le Gendarme Batista est retrouvé par les pompiers sous un tas de gravats, très gravement blessé. Évacué vers un hôpital de Lyon (69), le sous-officier succombe vers 04 heures 30. Dans la journée du 28 novembre 2006, les pompiers découvrent le corps sans vie de João Oliveira Gonçalves (26 ans). Habitant le dernier étage, ce jeune portugais était en convalescence suite à un accident du travail et on l'espérait absent de son logement.

L'enquête établira que Christian Baise (34 ans) a percé deux bouteilles de gaz à coups de marteau avant d'y approcher une bougie. Défavorablement connu après plusieurs dépôts de plainte à son encontre, il a survécu au drame qu'il a provoqué. Mis en examen pour destruction de bien par moyen dangereux ayant entraîné la mort d'autrui, il sera j
ugé devant la Cour d'Assises du Rhône en juin 2009. N'exprimant aucun remord concernant son acte clairement prémédité, il est condamné à 24 ans de réclusion criminelle assortis d'une période de sûreté de 16 ans (il risquait la réclusion criminelle dite à perpétuité). Il écope également de 10 ans de suivi socio-judiciaire avec obligations de soins.

Né le 21 janvier 1975 à Vitry-sur-Seine (94) et originaire de Normandie, le Gendarme Fabien Batista affichait 10 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Neuville-sur-Saône depuis avril 2005. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie (avec palme de bronze). À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Marié et père de deux jeunes filles, il avait 31 ans.


La 27ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Libourne (2009) porte le nom du MAJ Batista.


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Francis Delautre 27 mars 1989


Le 27 mars 1989 à Haute-Rivoire (69), en service police route, le Gendarme Francis Delautre trouve la mort dans un accident de la circulation.

Né le 25 octobre 1958 à Lambres (62), le Gendarme Francis Delautre était affecté à la Légion de Gendarmerie du Rhône-Alpes. Il avait 30 ans.

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Jean-Marc Boubée 23 avril 1984

Le 23 avril 1984 à Lyon (69), le Gendarme Jean-Marc Boubée décède des suites de blessures reçues en service police route dans un accident de moto.

Né le 31 mars 1956 à Mont-de-Marsan (40), le Gendarme Jean-Marc Boubée était affecté à la Légion de Gendarmerie du Rhône-Alpes. Il avait 28 ans.

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Guy Delfosse 27 mars 1984

Général de Division Guy Delfosse, tué à l'âge de 58 ans. Pris en
 otage lors d'un
 braquage de banque alors qu'il était en tenue
 sans être armé,
 a tenté de raisonner des malfaiteurs qui
 s'avéraient être des terroristes d'extrême gauche déjà
 auteurs de plusieurs meurtres dont celui d'un
 policier. A refusé la soumission et a
 été
 lâchement
 exécuté par balles,
 Victime du Devoir.
Le 27 mars 1984 vers 12 heures à Lyon (69), en uniforme mais non armé, le Général de Division Guy Delfosse se rend sur son temps libre dans une agence BNP Paribas située rue Victor Hugo dans le 2ème arrondissement. Au même moment, deux hommes font irruption dans le bâtiment armes aux poings, ordonnant aux clients qu'ils retiennent de se coucher par terre. Les deux criminels remarquent avec surprise le gendarme parmi les otages et, après s'être amusés de la situation, s’adressent à lui en intimant l'ordre de se mettre au sol.

Refusant d'obéir, le Général de Division Delfosse tente de raisonner les malfaiteurs, ignorant qu'il s'agit de membres d'Action Directe, un groupe terroriste anarchiste alors en pleine apogée dans les attentats à la bombe, les assassinats et les vols à main armée sanglants. En 1977 déjà, le meurtrier du Gendarme Luczak avait bénéficié dans sa cavale de l'aide des membres de cette organisation qui, entre 1981 et 1983, causait notamment la mort d'au moins 6 policiers. Les deux terroristes n'apprécient absolument pas qu'on leur résiste et ils l'ont déjà quant à eux prouvé par les meurtres du convoyeur de fonds Henri Delrieu à Caluire-et-Cuire (69) en octobre 1980 et du Brigadier Guy Hubert (Police Nationale) dans le 6ème arrondissement de Lyon en novembre 1981. L'officier de Gendarmerie en payera lui aussi le prix fort, il est frappé à bout portant par 4 balles de calibre .38 special. Affichant fièrement et gaiement son sadisme, le tireur s'assure de ne laisser aucune chance de survie au moyen d'une 5ème balle dans la tête avant de crier, devant les clients et employés horrifiés : « Vous voyez, c'est un vrai hold-up ! ». Trois minutes plus tard, le meurtrier et son comparse quittent l'agence avec un butin estimé à 25 000 francs.

André Olivier (41 ans) et Maxime Frérot (27 ans) sont rapidement identifiés comme les auteurs du vol à main armée et Frérot est plus particulièrement soupçonné du meurtre du militaire. Olivier sera interpellé par la Police Nationale le 28 mars 1986 à Lyon en compagnie d'un autre membre de son réseau, Bernard Blanc (34 ans), tous deux étaient armés et porteurs de gilets par balle. Frérot sera quant à lui interpellé le 24 novembre 1987 à Lyon également, après avoir ouvert le feu sur une patrouille de la PN qui procédait à son contrôle. À cette occasion, le Gardien de la Paix Hugol est gravement blessé par balles tandis que le Gardien de la Paix Baquéro, plus légèrement atteint, parvient à maîtriser le fugitif avec l'aide d'un courageux témoin, chauffeur de taxi. En juillet 1986, Frérot avait commis un autre attentat en piégeant les locaux de la Brigade de Répression du Banditisme de la Préfecture de Police de Paris (75) où une explosion tuait l'Inspecteur Divisionnaire Marcel Basdevant et causait des blessures à une trentaine de personnes, principalement des policiers dont deux furent gravement mutilés.

Frérot et Olivier sont jugés devant la Cour d'Assises du Rhône en juin 1989 et condamnés à la réclusion criminelle dite à perpétuité (période de sûreté ignorée) pour une série d'attentats et de braquages meurtriers commis à Lyon et Paris durant les années 1980. Jugé par la Cour d'Assises Spéciale en octobre 1992, Frérot est condamné une seconde fois à la réclusion criminelle dite à perpétuité pour l'attentat au siège de la BRB. Jugés à nouveau devant la Cour d'Assises Spéciale en juin 1995, les deux terroristes sont condamnés encore à 30 ans de réclusion criminelle pour plusieurs autres attentats. 
Olivier est, en 2021, vraisemblablement toujours incarcéré. Frérot a lui bénéficié d'un régime de semi-liberté dès 2009, après 22 ans d'incarcération, puis d'une liberté totale depuis juillet 2010.

Né le 29 novembre 1925 à Douai (59), le Général de Division Guy Delfosse affichait 11 ans de services dans l'Armée de Terre (1er RCP puis BF / ONU), 29 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté depuis 1 an à la caserne Raby* à Bron (69) où il avait pris la direction du 5è
me Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale. Vétéran d'Indochine, de Corée et d'AFN, déjà cité à 6 reprises et notamment déjà décoré de la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, il reçoit à titre posthume la Croix de Grand Officier de la Légion d'Honneur, la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze) et est cité à l'Ordre de la Nation. Il était décrit comme un homme calme, modeste et réservé qui aimait être près du terrain et surtout près de ses hommes. Fils d'un sous-officier de l'Armée de Terre, marié et père de trois enfants, il avait 58 ans.

La 89ème promotion d'officiers de Gendarmerie de l'école de Melun (1985) porte le nom du GDI Delfosse. Plusieurs rues et places portent également son nom notamment à Saint-Clair-du-Rhône (38), à Lyon et à Bertry (59). Enfin, la caserne du Groupement de Gendarmerie Départementale du Rhône à Lyon porte son nom depuis 1985.

* Le Colonel Raby (GN), résistant de la seconde guerre mondiale, a été déporté et fusillé par l'ennemi en 1943.

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Michel Gabillet 08 avril 1982

Le 1er avril 1982, en service police route, le Maréchal des Logis-Chef Michel Gabillet est gravement blessé dans un accident de moto. Évacué vers un hôpital de Lyon (69), il succombe le 08 avril 1982.

Né le 28 décembre 1949 à Mâcon (71), le Maréchal des Logis-Chef Michel Gabillet était affecté à la Légion de Gendarmerie du Rhône-Alpes. Il avait 32 ans.

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Jean-Claude Roche 09 mars 1979

Le 09 mars 1979 à Lyon (69), évacué vers un hôpital pour des difficultés à respirer, le Gendarme Jean-Claude Roche décède d'une maladie qui sera reconnue imputable au service, conséquence d'une mission de plongée effectuée quelques jours plus tôt dans le Rhône.

Né le 29 mars 1943 à Marseille (13), le Gendarme Jean-Claude Roche était affecté à la Brigade Territoriale d'Écully (69). Marié, père de deux garçons âgés de 4 et 7 ans, il avait 35 ans.

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Claude Devos 19 mai 1973

Le 19 mai 1973 à Lyon (69), le Gendarme Claude Devos décède des suites de brûlures reçues lors de l'incendie d'un véhicule de dotation dont il assurait l'entretien.

Né le 09 octobre 1947 à Beaumont-en-Artois devenu Hénin-Beaumont (62), le Gendarme Claude Devos était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie du Rhône-Alpes. Il avait 25 ans.

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Maurice Delfesc 05 juillet 1970

Le 05 juillet 1970 à Lyon (69), le Gendarme Maurice Delfesc décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 19 août 1932, le Gendarme Maurice Delfesc était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie de Rhône-Alpes. Il avait 37 ans.

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Léon Le Doujet 09 mars 1966

Maréchal des Logis-Chef Léon Le Doujet, tué en service
 commandé. S'opposant à l'évasion d'un détenu, a été
 mortellement blessé par celui-ci, Victime du Devoir.
Le 14 janvier 1966 à Lyon (69), gravement blessé alors qu'il s'opposait à l'évasion d'un détenu, le Maréchal des Logis-Chef Léon Le Doujet parvient à rattraper l'individu et à le maîtriser en attendant l'arrivée de renforts. Le sous-officier décède 
des suites de ses blessures le 09 mars 1966.

Le Maréchal des Logis-Chef Léon Le Doujet était affecté à la 1ère Légion de Gendarmerie Départementale. En octobre 1962 à Drancy (93), il avait été blessé en service, gravement atteint par balles lors d'une interpellation de malfaiteur. Il était déjà décoré à titre exceptionnel de la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze) et de la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon bronze).

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Henri Rigal 27 février 1962

Le 27 février 1962 à Lyon (69), le Gendarme Henri Rigal décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 07 avril 1932 à Labassère (65), le Gendarme Henri Rigal était affecté à la 8ème Légion de Gendarmerie Mobile. Il avait 29 ans.

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Marcel Troquet 23 janvier 1940

Le 23 janvier 1940 à Pierre-Bénite (69), le Gendarme Marcel Troquet décède dans des circonstances ignorées.

Né le 05 septembre 1908 à Sainte-Colombe (69), le Gendarme Marcel Troquet avait 31 ans.

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