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David Lannes 05 février 2018

Adjudant David Lannes, tué en service commandé à l'âge de
 46 ans. Procédant à des contrôles en poste fixe, a été
 délibérément fauché par un jeune motard en infraction
 qu'il tentait d'intercepter. A succombé peu
 après,
 Victime du Devoir.
Le dimanche 04 février 2018 à Salles (33), quatre gendarmes réalisent des contrôles vitesse à l'aide d'un cinémomètre sur la route départementale 3, près du lieu-dit Peylahon. Vers 16 heures 30, une moto non homologuée attire l'attention alors qu'elle surgit à vive allure dans une ligne droite. 

L'Adjudant David Lannes se positionne sur la chaussée et effectue les gestes réglementaires afin d'imposer l'arrêt au motard. N'ayant aucunement l'intention de se soumettre au contrôle, ce dernier accélère de plus belle pour forcer le passage, percutant violemment le sous-officier avant de chuter, déséquilibré par le choc. Héliporté dans un état désespéré au CHU de Bordeaux (33), l'Adjudant Lannes succombe à ses blessures dans la soirée du 05 février 2018.

Théo D. (15 ans) est immédiatement interpellé puis conduit vers un hôpital pour des blessures légères. Déjà connu pour dégradations et violation de domicile, placé en garde à vue avec l'assistance d'un avocat, l'adolescent avoue spontanément avoir refusé le contrôle et n'avoir pas chercher à éviter le militaire dans sa fuite. Le Procureur de la République de Bordeaux requiert un placement en détention provisoire et ouvre une information judiciaire pour meurtre d'une personne dépositaire de l'autorité publique ainsi que refus d'obtempérer aggravé mais le magistrat instructeur décide d'une mise en examen pour homicide involontaire aggravé, ordonnant une libération sous contrôle judiciaire. Le Parquet fait appel de la décision mais un dénouement tragique mettra rapidement fin à l'action publique. Le 19 février 2018, le père du mis en cause quitte son domicile à Salles avec ce dernier et se rend dans un endroit isolé de la commune où il tue son fils avec un fusil de chasse avant de se suicider dans la foulée, ayant laissé au préalable plusieurs lettres pour expliquer son geste. 

Né le 18 mars 1971 à Valence (26), fils du Gendarme Roger Lannes décédé en service en 1975, l'Adjudant David Lannes affichait 26 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale de Belin-Béliet (33) depuis 3 ans. À titre posthume, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, la Médaille Militaire, la Médaille de la Gendarmerie (avec palme de bronze), la Médaille de la Sécurité Intérieure (échelon or) et est cité à l'Ordre de la Nation. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Marié et père de trois enfants, il avait 46 ans.


(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

Pascal Dagon 03 novembre 2008

Le lundi 03 novembre 2008 vers 09 heures 15 à Braud-et-Saint-Louis (33), alors qu'il se rendait à la centrale nucléaire du Blayais pour une escorte de convoi sensible, le Gendarme Pascal Dagon perd le contrôle de sa moto au lieu-dit Azac, glissant dans un virage sous la pluie avant de percuter un poids-lourd qui arrivait en sens inverse. Pris en charge par les secours, le sous-officier décède sur les lieux de l'accident.

Né le 13 mai 1966 à Arcachon (33), le Gendarme Pascal Dagon était sorti de l'ESOG de Montluçon (131ème promotion) et était affecté à la Brigade Motorisée de Saint-André-de-Cubzac (33) depuis 2 mois. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Major. Marié et père de trois enfants, il avait 42 ans.


(merci de me contacter si vous avez plus d'informations à ce sujet)

Olivier Lauret 13 décembre 2006

Le 13 décembre 2006 vers 09 heures à Avensan (33), alors qu'il se rendait à Bordeaux (33) pour une liaison, le Gendarme Adjoint Volontaire Olivier Lauret décède dans un accident de la circulation sur la route départementale 1, son véhicule s'étant déporté sur la partie gauche de la chaussée avant de s'encastrer dans un poids-lourd arrivant en sens inverse.

Conclusions de l'enquête ignorées.

Né le 26 juillet 1986 à Saint-Denis (île de la Réunion), le Gendarme Adjoint Volontaire Olivier Lauret recevait sa première affectation à la Brigade Territoriale de Castelnau-de-Médoc (33) en octobre 2006. Célibataire et sans enfant, il avait 20 ans.


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Alain Millon 22 juin 1991


Le samedi 22 juin 1991 peu après 02 heures à Pineuilh (33), une patrouille de Gendarmerie intervient sur la route départementale 936 où a eu lieu un accident matériel impliquant deux véhicules.

Alors qu'il vient de finir de procéder aux constatations de l'accrochage et qu'il bloque le trafic pour permettre aux camions de dépannage de repartir, le Gendarme Alain Millon est mortellement fauché par une voiture dont le conducteur a perdu le contrôle.

L'automobiliste en cause est Stéphane Escat (21 ans). Suites judiciaires ignorées.

Né le 31 juillet 1948 à Vierzon (18), le Gendarme Alain Millon affichait 1 an de services dans l'Armée de Terre (1er RCP), 20 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté la Brigade Territoriale de Sainte-Foy-La-Grande depuis avril 1982. Déjà décoré de la Médaille de la Défense Nationale (échelon argent) et titulaire d'une lettre de félicitation pour son implication dans une enquête judiciaire difficile en 1983, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Maréchal des Logis-Chef. Marié et père de trois enfants, il avait 43 ans.


La 18ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Tulle (2018) porte le nom du MDC Millon.


Plaque commémorative créée par la 18ème
 promotion de l'ESOG de Tulle.

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Philippe Albert 22 décembre 1983

Le 16 décembre 1983 dans l'après-midi, un appel signale une Mercedes dont le conducteur circule à vive allure de façon anarchique sur les routes de la Gironde, mettant clairement en danger les autres usagers. Repéré par des patrouilles de Gendarmerie à Castelnau-de-Médoc (33) puis Eysines (33), l'automobiliste refuse d'obtempérer. Il sème les gendarmes en franchissant les feux rouges et en prenant les sens interdits mais alors qu'il prend la direction d'Andernos-les-Bains (33), il est à nouveau pris en chasse par des gendarmes en Renault Estafette.

À Audenge (33), avisée de la direction de fuite du véhicule poursuivi, une autre patrouille se positionne sur la route départementale 3. Alors que son camarade met pied à terre pour déployer une herse, le Gendarme Philippe Albert stationne la Renault 4L sérigraphiée en travers de la chaussée, gyrophare allumé. À la vue des militaires, le chauffard double à vive allure la file de voitures arrêtées par le barrage et vient délibérément percuter le véhicule de Gendarmerie qui, projeté à une trentaine de mètres, s'écrase contre la vitrine d'un commerce. Éjecté de l'habitacle, le Gendarme Albert est très gravement atteint dans la collision. Plongé dans le coma et évacué vers un hôpital de Bordeaux (33), il succombera à ses blessures le 22 décembre 1983.

Le meurtrier tente encore et toujours de prendre la fuite mais il est interpellé 500 mètres plus loin après avoir encastré sa Mercedes hors d'usage dans un camion, blessant légèrement son chauffeur. Antoine Porcelli (41 ans) avait 1,42 gramme d'alcool dans le sang. Mis en examen pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, conduite en état d'ivresse et refus d'obtempérer à une sommation de s'arrêter, il sera jugé en novembre 1985 devant la Cour d'Assises de la Gironde, condamné à 10 ans de réclusion criminelle...

Né le 18 novembre 1957 à Narbonne (11), le Gendarme Philippe Albert était sorti de l'ESOG de Montluçon (54ème promotion) et était affecté à la Brigade Territoriale d'Andernos-les-Bains. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Maréchal des Logis-Chef. Il avait 26 ans.

La 127ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (1989) porte le nom du MDC Albert.

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Richard Laugier 02 juin 1980

Le 02 juin 1980 à Villenave-d'Ornon (33), le Gendarme Richard Laugier décède des suites de blessures reçues en service police route dans un accident de moto.

Né le 28 juillet 1934 à Paris (75), le Gendarme Richard Laugier était affecté à la Légion de Gendarmerie d'Aquitaine. Il avait 45 ans.

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Serge Roumanet 07 avril 1979

Gendarme Serge Roumanet, décédé en service commandé
 à l'âge de 53 ans. Alors qu'il intervenait pour réguler
 la circulation suite à un accident de la route, a
 trouvé la mort accidentellement fauché par
 un automobiliste, Victime du Devoir.
Le 07 avril 1979 vers 05 heures à Cestas (33), une patrouille de Gendarmerie se transporte au lieu-dit le Puch sur la route nationale 10 (devenue route départementale 1010) où un accident matériel vient d'avoir lieu. Tandis qu'une dépanneuse gyrophare tournant prend en charge le seul véhicule impliqué, le Gendarme Serge Roumanet assure la régulation du trafic près du fourgon sérigraphié de son unité avec les gyrophares également enclenchés. Le sous-officier est alors mortellement renversé par une voiture Volkswagen dont le conducteur, surpris malgré la signalisation, a perdu le contrôle.

L'automobiliste en cause est Bernard Roux (25 ans). Suites judiciaires ignorées.

Né le 19 décembre 1925 à Saïgon (Vietnam anciennement Cochinchine), le Gendarme Serge Roumanet affichait 2 ans de services dans l'Armée de Terre (RMC) et 23 ans de services dans la Gendarmerie. Affecté à la Brigade Territoriale de Pessac (33) depuis mars 1973, il était déjà décoré de la Croix de la Valeur Militaire, de la Médaille Coloniale (agrafe Extrême-Orient), de la Croix du Combattant, de la Médaille Commémorative de la Campagne d'Indochine et de la Médaille Commémorative d'AFN (agrafe Algérie). Il avait également reçu des félicitations écrites, en 1977, pour sa participation à l'enquête et à l'arrestation de quatre malfaiteurs auteurs de vols à main armée. À titre posthume, il est cité à l'Ordre de la Gendarmerie. Marié, père de six enfants âgés de 7 à 24 ans, il avait 53 ans.

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Jean-Louis Lossouarn 25 juin 1974

Le 25 juin 1974 à Bordeaux (33), le Gendarme Jean-Louis Lossouarn décède des suites de blessures reçues en service police route dans un accident de moto.

Né le 20 janvier 1946 à Lannilis (29), le Gendarme Jean-Louis Lossouarn était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie d'Aquitaine. Il avait 28 ans.

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Christian Biremont 21 avril 1972

Le 21 avril 1972 à Bordeaux (33), le Gendarme Christian Biremont décède des suites de blessures reçues en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 10 juin 1945 à Onesse-Laharie (40), le Gendarme Christian Biremont était affecté à la Circonscription Régionale de Gendarmerie d'Aquitaine. Il avait 26 ans.

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Jean-Lucien Carratala 11 février 1969

Gendarme Jean-Lucien Carratala, tué en service commandé
 à l'âge de 42 ans. Alors qu'il intervenait pour sécuriser le
 périmètre de l'habitation d'un forcené dans le contexte
 d'une prise d'otage intrafamiliale qui terminera de la
 façon la plus tragique, est tombé sous
 les balles, Victime du Devoir.
Le lundi 03 février 1969 à Cestas (33), un homme refuse de confier ses trois enfants à son ex-épouse malgré une décision de Justice. Disposant d'un droit de garde les week-ends, le père doit remettre les enfants à leur mère chaque début de semaine. 
L'aînée des enfants, âgée de 14 ans, s'enfuit du domicile et parvient à rejoindre sa mère. Effrayée, la jeune fille raconte l'état de surexcitation dans lequel se trouve son père.

Avisée par la mère, une première patrouille de Gendarmerie se rend au domicile du père lorsqu'elle est immédiatement accueillie par des coups de feu. Des renforts se rendent sur place et une prise de contact est établie avec André Fourquet (38 ans). Barricadé, ce dernier exige que son ex-femme revienne au domicile et menace de tuer ses enfants si les gendarmes s'approchent trop près de la maison. Équipé d'une carabine 22LR avec lunette de visée, le forcené se met à tirer sur tout ce qu'il voit bouger : gendarmes, voisins, chasseurs et animaux. Un périmètre de sécurité est établi alors que les intervenants essayent d'entamer une négociation (à noter qu'il n'existait pas d'unité spécialisée pour ce type d'intervention à cette époque).

Dans la matinée du mardi 11 février 1969, après plus d'une semaine, le forcené réclame une infirmière pour l'un de ses enfants qui a de la fièvre. Les autorités refusent par crainte de fournir un nouvel otage. Le même jour vers 12 heures, le criminel épie les environs et fait à nouveau feu. À plus de 150 mètres de la maison, le Gendarme Jean-Lucien Carratala s'écroule, atteint d'une balle en plein cœur. Trois de ses camarades se précipitent afin de l'évacuer sous des tirs constants. Il n'y a pas de nouvelle victime mais la veste de l'un d'eux est cependant perforée par une balle. Porteur d'un gilet par balle trop petit, le GND Carratala succombe à sa blessure en quelques minutes. En réponse, l'habitation se retrouve assiégée. Les gendarmes jettent des grenades lacrymogènes pour tenter d'incapaciter le meurtrier mais ils se retirent finalement face à de nouvelles menaces de mort sur les enfants.

Les faits deviennent très médiatisés et des centaines de badauds se présentent sur les lieux. Plusieurs personnes sont interpellées pour avoir franchi le périmètre de sécurité. Dans la matinée du lundi 17 février 1969, après deux semaines de tentatives de négociations, un assaut est décidé. Le chef du dispositif s'avance avec ses hommes et somme le forcené de se rendre pour la dernière fois quand trois détonations retentissent. Les gendarmes pénètrent aussitôt en force dans l'habitation mais il est trop tard. Avant de se suicider, Fourquet a tiré sur ses deux enfants, Aline (13 ans) et Francis (10 ans), les assassinant d'une balle dans la tête.

Deux ans avant ce dénouement particulièrement tragique, Fourquet s'était déjà barricadé avec ses enfants muni d'un fusil. Menaçant les gendarmes de son arme, il avait là aussi ordonné que son ex-femme revienne au domicile. Au bout de 15 jours de négociation, il acceptait finalement la reddition. Jugé pour cela, il fut condamné à 6 mois de prison ferme sans que l'on sache si son arme avait été saisie.

Le Gendarme Jean-Lucien Carratala était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 10/11 de Bordeaux (33). À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 42 ans.


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Marcel Marie 14 février 1965

Le dimanche 14 février 1965 au matin à Gujan-Mestras (33), un habitant de la commune monte dans sa voiture lorsqu'un individu se dirige vers lui et tire un coup de revolver dans sa direction. La balle vient traverser le pare-brise du véhicule, frôlant le conducteur et blessant son chien. Le miraculé, monsieur Caupos, démarre en trombe et prévient les autorités. Avertie, une patrouille de Gendarmerie se transporte au domicile du tireur dont l'identité est connue de la victime. 

À l'arrivée des militaires, le mis en cause est sommé de se rendre les mains en l'air. Le scélérat fait mine d'obtempérer mais alors qu'il arrive à quelques mètres des gendarmes, il dégaine soudainement deux armes de poing, ouvrant le feu jusqu'à être à court de munitions. Le Gendarme Marcel Marie s'écroule dans la fusillade, mortellement atteint de plusieurs balles à l'abdomen et à la tête. Le meurtrier se rue ensuite sur le Gendarme Yves Nauge (35 ans) qui, blessé par balle et frappé à coups de crosse, parvient malgré tout à procéder à l'arrestation.

Interné à plusieurs reprises par le passé pour des troubles psychiatriques, Paul Lemaire (41 ans) est inculpé et placé en détention préventive pour meurtre d'un agent de la force publique. 
Suites judiciaires ignorées.

Le Gendarme Marcel Marie était affecté à la Brigade Territoriale de La-Teste-de-Buch (33). À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Gendarmerie et la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon argent). Il avait 41 ans.


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André Bengue 27 janvier 1963

Le 27 janvier 1963 près de Libourne (33), alors qu'il tentait d'intercepter un automobiliste en infraction, le Gendarme André Bengue décède dans un accident, ayant perdu le contrôle de sa moto avant d'heurter un obstacle fixe.

Le Gendarme André Bengue était affecté à la Brigade Mixte de Rauzan (33).


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Jean Baumard 22 octobre 1956

Le 22 octobre 1956 peu après minuit à Arbanats (33), un poids-lourd circulant sur la route nationale 113 (devenue route départementale 1113) fait une violente sortie de route à l'entrée du village. Des habitants réveillés par le fracas et des automobilistes de passage se portent au secours du chauffeur gravement blessé tandis qu'une patrouille de Gendarmerie arrive peu après sur les lieux.

Dans les minutes qui suivent, une voiture survient à vive allure et son conducteur en perd le contrôle, venant faucher les gens affairés autour du camion accidenté. Le Gendarme Jean Baumard ainsi qu'un bon samaritain, monsieur Trémolières (36 ans), décèdent sur le coup tandis qu'au moins 5 autres personnes, dont l'Adjudant Fernand Prat (45 ans), sont blessées plus ou moins grièvement.

Suites judiciaires ignorées.

Né le 23 juillet 1910 à Saint-Même-les-Carrières (16), le Gendarme Jean Baumard était affecté à la 4ème Légion de Gendarmerie Départementale. Durant la seconde guerre mondiale, il avait rejoint la Résistance (FFI). Il avait 46 ans.

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