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Fabrice Jarry 17 mars 2006

Le 17 mars 2006 vers 19 heures 30 à Saint-Michel-en-Brenne (36), alors qu'il regagnait son unité au volant d'un véhicule sérigraphié après une mission de police judiciaire, l'Adjudant Fabrice Jarry décède dans un accident de la circulation survenu sur la route départementale 43.

Né le 22 mai 1970 à Parthenay (79), l'Adjudant Fabrice Jarry affichait 17 ans de services dans la Gendarmerie. Sorti de l'ESOG de Montluçon (146ème promotion), il était affecté à la Brigade Territoriale de Mézières-en-Brenne (36). À titre posthume, il reçoit la Médaille de la Défense Nationale (échelon or avec palme de bronze). Il avait 35 ans.

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Denis Daugeron 29 décembre 1992

Gendarme Denis Daugeron, décédé en service
 commandé à l'âge de 29 ans. Alors qu'il intervenait
 sur les lieux d'un accident de la route, a été fauché
 par un automobiliste imprudent et a succombé
 deux jours plus tard, Victime du Devoir.
Le dimanche 27 décembre 1992 vers 20 heures 30 à Tendu (36), une patrouille de Gendarmerie se transporte sur la route nationale 20 (devenue route départementale 920) où un accident de la route vient de se produire.

Le Gendarme Denis Daugeron s'occupe de la régulation du trafic lorsqu'un véhicule se stationne à son niveau en bordure de chaussée. Le conducteur, un médecin passant par hasard, veut porter secours aux victimes. Au même instant, surgissant à très vive allure, un automobiliste vient percuter la voiture arrêtée et faucher le sous-officier. Très gravement blessé, le Gendarme Daugeron est évacué vers un hôpital de Limoges (87) où il succombe dans la journée du 29 décembre 1992.

Michel Vandevelde (30 ans) est inculpé pour homicide involontaire. Suites judiciaires ignorées.

Né le 02 janvier 1963 à Thaumiers (18), le Gendarme Denis Daugeron affichait 12 ans de services (dont 5 ans dans la Gendarmerie). Sorti de l'ESOG de Montluçon (60ème promotion), il était affecté à la Brigade Territoriale d'Argenton-sur-Creuse (36) depuis mars 1986. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié et père d'un enfant, il avait 29 ans.

La 368ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (2017) porte le nom du GND Daugeron.


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François Idier 30 mai 1986


Le 30 mai 1986 à Chauvigny (86), le Gendarme François Idier décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 26 juillet 1934 à Vicq-sur-Nahon (36), le Gendarme François Idier était affecté à la Légion de Gendarmerie de Poitou-Charentes. Il avait 51 ans.

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Patrice Comboliaud 31 octobre 1982

Gendarme Patrice Comboliaud, tué en service commandé à
 l'âge de 21 ans. En patrouille à moto, s'est positionné à un
 endroit stratégique pour intercepter un véhicule qui venait
 d'être dérobé par deux malfaiteurs mineurs. A trouvé la
 mort délibérément fauché par le conducteur du
 véhicule volé, Victime du Devoir.
Dans la matinée du dimanche 31 octobre 1982 à Châteauroux (36), deux gendarmes motocyclistes sont en patrouille près de l'aéroport de la ville lorsqu'un message radio signale le vol d'une Citroën CX survenu peu auparavant à Argenton-sur-Creuse (36). Un chauffeur de taxi a en effet surpris plusieurs individus devant son domicile au moment où ceux-ci dérobaient son outil de travail. Se situant
 à environ 30 kilomètres du lieu des faits, les Gendarmes Philippe Gudin (36 ans) et Patrice Comboliaud décident d'emprunter la rocade afin de barrer la route aux malfaiteurs.

En avance sur son camarade, le Gendarme Comboliaud s'arrête sur le pont qui assure la liaison entre les quartiers de Cré et Gireugne lorsqu'il aperçoit au loin la Citroën CX en question qui
 se dirige dans sa direction à très vive allure. À la vue des gendarmes, le conducteur du véhicule volé accélère de plus belle et se déporte délibérément sur le premier sous-officier qui, à peine descendu de sa moto, n'a aucunement le temps de réagir. En pleine ligne droite, le choc est effroyable. La CX vient faucher le Gendarme Comboliaud à une vitesse estimée à environ 140 km/h, lui arrachant instantanément la vie. Le corps du militaire est projeté à plus de 20 mètres du point d'impact tandis que sa moto est traînée sur près de 100 mètres. Un peu plus loin, le Gendarme Gudin échappe de justesse au même sort. Hors d'usage, le taxi s'immobilise et deux occupants s'en extirpent, tentant vainement de dérober une autre voiture avant de s'enfuir en courant.

Roger M. et Serge S. sont interpellés quelques heures plus tard dans un camp de gens du voyage à Châteauroux. Déjà condamnés pour des vols, ils sont jugés en février 1984 devant une juridiction pour mineurs. Âgé de seulement 15 ans, le meurtrier sera condamné à 10 ans de réclusion criminelle et son complice de 14 ans écopera quant à lui de 6 ans d'emprisonnement.

Né le 11 novembre 1960 à Beaurepaire (38), le Gendarme Patrice Comboliaud affichait 3 ans de services dans la Gendarmerie. Après avoir effectué son service militaire dans l'institution en 1979 à 1980, il sortait de l'ESOG de Berlin en janvier 1981 et recevait sa première affectation à la Brigade Motorisée de Châteauroux en février 1981. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire, la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze) et la Médaille d'Honneur pour Acte de Courage et de Dévouement (échelon or). À titre exceptionnel, il est nommé au grade de Maréchal des Logis-Chef. Célibataire et sans enfant, il avait 21 ans.


Une rue de Châteauroux porte depuis le nom du MDC Comboliaud.


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Pascal Parisot 23 décembre 1978

Le 23 décembre 1978 vers 19 heures à Saint-Maur (36), une patrouille de Gendarmerie intervient sur la route nationale 20 (devenue autoroute A20) où un grave accident de la circulation vient d'avoir lieu.

Alors que le Gendarme Pascal Parisot procède aux constatations, une automobiliste surgit à vive allure et est surprise par le bouchon créé par l'accident, perdant tout contrôle. La voiture en cause se déporte sur l'accotement de droite sur environ 80 mètres et vient percuter le fourgon de Gendarmerie qui, stationné en protection, est propulsé contre un des véhicules déjà accidentés, coinçant le Gendarme Parisot contre celui-ci après l'avoir heurté. Évacué vers un hôpital, le sous-officier succombe à ses blessures le 24 décembre 1978.

Suites judiciaires ignorées.

Né le 27 avril 1957 au Gabon, le Gendarme Pascal Parisot affichait 3 ans de services dans la Gendarmerie. Après avoir effectué son service militaire dans l'institution, il est sorti de l'ESOG de Montluçon en mars 1977 (2ème promotion) et il recevait sa première affectation à la Brigade Territoriale de Châteauroux (36) en avril 1977. Il avait 21 ans.

La 111ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (1988) porte le nom du GND Parisot.

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Joseph Henon 02 décembre 1959

Le 02 décembre 1959 à Châteauroux (36), le Gendarme Joseph Henon décède en service commandé dans un accident de la circulation routière.

Né le 16 juin 1911 à Noeux-les-Mines (62), le Gendarme Joseph Henon était affecté à la 4ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. Marié, il avait 48 ans.

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Marcel Plisson 22 novembre 1958

Le 21 novembre 1958 à Préaux (36), une dispute éclate entre un vieil homme et ses enfants. La discussion s'envenime et prend un tournant violent, à tel point que la fratrie quitte le domicile du père et font appel à la Gendarmerie. Une patrouille arrive sur place et constate que l'individu s'est entre-temps saisit d'un fusil qu'il ne tarde pas à utiliser depuis l'une des fenêtres de l'habitation. Le Gendarme Marcel Plisson s'effondre, atteint à la poitrine par un projectile. Évacué vers un hôpital de Châteauroux (36), le sous-officier succombera à sa blessure dans la journée du 22 novembre 1958.

Le 23 novembre, après deux jours de négociations vaines, le forcené tente une sortie lorsqu'il fait feu une seconde fois à la vue des Sapeurs-Pompiers. Le pompier Joseph Venail (44 ans) est très gravement blessé tandis qu'un gendarme riposte, touchant l'auteur à l'épaule avant que ce dernier ne se retranche à nouveau. Finalement interpellé sans résistance supplémentaire dans la matinée du 24 novembre, Edouard Mathon est décrit comme une personne âgée présentant des troubles mentaux. Suites judiciaires ignorées.

Né le 03 avril 1914 à Lignières (18), le Gendarme Marcel Plisson affichait 5 ans de services dans l'Armée de Terre (4ème RTT puis 4ème RTA) et 19 ans de services dans la Gendarmerie. Il était affecté à la Brigade Territoriale de Mézières-en-Brenne (36) depuis mars 1946. Vétéran de la seconde guerre mondiale, il était homologué dans la résistance. Déjà décoré de la Médaille Militaire et de la Médaille Commémorative 1939-1945, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie (avec grenade de bronze) à titre posthume. Marié et père deux enfants, il avait 44 ans.

La 155ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (1992) porte le nom du GND Plisson.

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Maurice Debord 11 janvier 1946

Le 11 janvier 1946 à Ciron (36), le Gendarme Maurice Debord trouve accidentellement la mort en service commandé.

Né le 02 mai 1914 à Saint-Hilaire-de-Gondilly (18), le Gendarme Maurice Debord affichait au moins 8 ans de services dans la Gendarmerie et était affecté à la Brigade Territoriale du Blanc (36) depuis 1940. De 1938 à 1940, il était affecté à la 2ème LGRM. Marié, il avait 31 ans.

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Albert Naudet 28 juillet 1940

Le 28 juillet 1940 à Azay-le-Ferron (36), le Gendarme Albert Naudet décède accidentellement en service commandé.

Né le 15 mai 1904 à Villedieu (36), le Gendarme Albert Naudet était affecté à la Brigade Territoriale de Mézières (36). Il avait 36 ans.

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