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Le 13 octobre 1982 à Sélestat (67), alors qu'il se trouvait hors service et qu'il portait assistance à une automobiliste en difficulté, le Gendarme Alain Carluer trouve la mort, accidentellement fauché par un véhicule.Le 1er août 1982 à Moliets-et-Maa (40), alors qu'il intervenait sur les lieux d'un accident de la route, le Maréchal des Logis-Chef Jean-Marie Stevenin trouve la mort, accidentellement fauché par un automobiliste.Le 13 novembre 1981 à Saint-Germain-en-Laye (78), alors qu'il tentait de protéger les lieux où un accident de la route venait de se produire, le Gendarme Philippe Tardy trouve la mort, accidentellement fauché par un automobiliste.Le 27 novembre 1979, alors qu'il intervenait sur les lieux d'un accident de la route et qu'il assurait la régulation du trafic, le Gendarme Christian Meyer est accidentellement fauché par un automobiliste. Évacué vers un hôpital de Saint-Dié-des-Vosges (88), il succombe à ses blessures le jour même. |
| Gendarme Serge Roumanet, décédé en service commandé à l'âge de 53 ans. Alors qu'il intervenait pour réguler la circulation suite à un accident de la route, a trouvé la mort accidentellement fauché par un automobiliste, Victime du Devoir. |
Le 24 février 1979 à La Roche-de-Rame (05), alors qu'il intervenait sur les lieux d'un accident de la route, le Gendarme Louis Esmieu trouve la mort, accidentellement fauché par un automobiliste.Le 28 décembre 1978, alors qu'il portait secours aux occupants d'un véhicule immobilisé sur un carrefour pour une raison indéterminée, le Gendarme Raymond Merdrignac est accidentellement fauché par un automobiliste. Évacué vers un hôpital de Nantes (44), le sous-officier succombe à ses blessures le jour même.Le 23 décembre 1978 vers 19 heures à Saint-Maur (36), une patrouille de Gendarmerie intervient sur la route nationale 20 (devenue autoroute A20) où un grave accident de la circulation vient d'avoir lieu.Le mardi 18 avril 1978 à Bénesse-Maremne (40), alors qu'il intervenait de nuit sur la route nationale 10 (devenue route départementale 810) pour porter assistance au chauffeur d'un poids-lourd en difficulté, l'Adjudant Guy Bayle est très gravement blessé en tentant désespérément d'éviter une collision provoquée par un second poids-lourd. Évacué vers un hôpital de Bayonne (64), il succombe le 24 avril 1978.Le 15 octobre 1976 à Saint-Fargeau-Ponthierry (77), intervenant sur les lieux d'un accident de la route, l'Adjudant Germain Bréhinier trouve la mort, accidentellement fauché par un automobiliste.Le 28 novembre 1975 vers 07 heures 30 à Colomiers (31), alors qu'il intervenait pour assurer la régulation du trafic sur la route nationale 124 près du quartier En Jacca, le Gendarme Michel Desangles trouve la mort, fauché de plein fouet par un automobiliste imprudent.Le 11 mai 1975 à Marboué (28), lors d'une intervention sur les lieux d'un accident de la route, le Gendarme Alain Griselles est accidentellement fauché par un automobiliste. Évacué vers un hôpital de Châteaudun (28), il succombe à ses blessures le jour même.Le 27 août 1974 aux Abymes (Guadeloupe), remarquant la présence d'un obstacle dangereux sur une voie de circulation lors d'une patrouille à moto, le Maréchal des Logis-Chef Bernard Pecqueux trouve la mort fauché par un automobiliste imprudent alors qu'il intervenait pour dégager la chaussée.Le 13 février 1974 à Bolbec (76), assigné à la protection d'un chantier mobile visant à rénover la chaussée de la route nationale 13 bis (devenue route départementale 6015), le Gendarme Jean Ferlicot tente désespérément d'attirer l'attention d'un chauffeur de poids-lourd qui ne respectait pas la signalisation mise en place lorsqu'il trouve la mort fauché par ce camion.Le 10 octobre 1973 à Moriat (63), une patrouille de Gendarmerie intervient de nuit sur la route nationale 9 (devenue route départementale 909) où un camion se trouve en difficulté. Alors qu'il assure le guidage pour le chauffeur du poids-lourd, le Gendarme Pierre Doué trouve la mort fauché par un automobiliste qui survenait à une vitesse excessive. |
| Gendarme Jean-Marie Gidon, décédé en service commandé à l'âge de 37 ans. Alors qu'il intervenait sur les lieux d'un accident de la route et qu'il cherchait à porter secours à une victime, a trouvé la mort accidentellement fauché par un automobiliste qui conduisait en état d'ivresse. Est tombé Victime du Devoir. |
Le 24 septembre 1972 à Puiseux-le-Hauberger (60), une patrouille de Gendarmerie intervient de nuit sur la route nationale 1 (devenue route départementale 1001) où un accident de la circulation vient de se produire. Alors qu'il procède aux constatations, le Gendarme Jean Gamant trouve la mort fauché par un automobiliste qui survenait à vive allure malgré le balisage mis en place, perdant le contrôle de son véhicule.Le 02 septembre 1972 à Cranves-Sales (74), une patrouille de Gendarmerie intervient de nuit sur la route nationale 203 (devenue route départementale 903) où un accident de la circulation vient de se produire. Alors qu'il assure la protection des lieux, l'Élève-Gendarme Guy Mourier remarque un automobiliste qui survient à vive allure et qui passe volontairement outre la signalisation mise en place. Tentant désespérément d'attirer l'attention du conducteur imprudent, le sous-officier est fauché de plein fouet. Évacué vers un hôpital d'Ambilly (74), il succombe à ses blessures le jour même.