André Geffard 23 mai 1962

Gendarme André Geffard, tué en service
 commandé à l'âge de 29 ans. Dans une 
Algérie d'après-guerre déchirée par les
 attentats, est tombé sous les balles
de terroristes, Victime du Devoir.

Le 23 mai 1962 à Alger (Algérie), tombé dans une embuscade de l'OAS lors d'une patrouille, le Gendarme André Geffard est mortellement atteint par balles.

Né le 17 mars 1933 à Saint-Hilaire-des-Loges (85), le Gendarme André Geffard était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 7/6 bis de Chaumont (52). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié, il avait 29 ans.

La 373ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Chaumont porte le nom du GND Geffard.

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Paul Griffet 15 mai 1962

Le 15 mai 1962 à Sidi Bel Abbès (Algérie), assigné à l'escorte du Sous-Préfet Zedouchir Bouakkaz lors d'un déplacement en convoi, le Maréchal des Logis-Chef Paul Griffet, le haut fonctionnaire ainsi que deux autres personnes chargées de sa protection sont mortellement atteints par balles dans une embuscade de l'OAS.

Né le 22 septembre 1922 à Roanne (42), le Maréchal des Logis-Chef Paul Griffet était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 39 ans.

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Rahal Fatmi 12 mai 1962

Le 12 mai 1962 à Bologhine (Algérie), en route vers son unité pour la prise de service, le Gendarme Auxiliaire Rahal Fatmi est mortellement atteint sous les balles de terroristes non identifiés.

Né le 10 mars 1938, le Gendarme Auxiliaire Rahal Fatmi était affecté à la 10ème Légion de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 24 ans.

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Georges Bouillot 08 mai 1962

Le 08 mai 1962 à Oran (Algérie), assigné à la protection d'un chantier du génie de l'Armée de Terre, le Gendarme Georges Bouillot est mortellement atteint sous les balles d'un terroriste non identifié.

Né le 18 août 1934 à Givry (71), le Gendarme Georges Bouillot était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile ?/7 de Decize (58). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié et père d'un enfant qui naîtra après son décès, il avait 27 ans.

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Jean Deschaumes 07 mai 1962

Le 07 mai 1962 à Oran (Algérie), en opération de maintien de l'ordre, le Gendarme Jean Deschaumes est mortellement atteint sous les balles de terroristes non identifiés.

Né le 10 avril 1932, le Gendarme Jean Deschaumes était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile ?/7 de Decize (58). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié et père d'un enfant, il avait 30 ans.

La 375ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Montluçon (2017) porte le nom du GND Deschaumes.

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Fernand Gailland 06 mai 1962

Le 06 mai 1962 près de Tafraoui (Algérie), le Gendarme Fernand Gailland est enlevé puis exécuté par des terroristes non identifiés.

Né le 03 septembre 1927 à Pont-en-Royans (38), le Gendarme Fernand Gailland était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Il avait 34 ans.

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Jean Viallefont 04 mai 1962

Gendarme Jean Viallefont, tué en service
 commandé à l'âge de 35 ans. Dans une
 Algérie d'après-guerre déchirée par les
 attentats, est tombé sous les balles
 d'un terroriste, Victime du Devoir.

Le 04 mai 1962 à Oran (Algérie), assigné au bouclage d'un quartier européen lors d'une opération contre l'OAS, le Gendarme Jean Viallefont est mortellement atteint par les tirs d'un sniper caché dans un immeuble.

Né le 22 septembre 1926 à Auriac-l'Église (15), le Gendarme Jean Viallefont était affecté à la 8ème Légion de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 35 ans.

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Georges Jandin et Roger Lagoutte 21 avril 1962

Le 21 avril 1962 peu après 08 heures à Alger (Algérie), tombés dans une embuscade de l'OAS en service commandé, les Gendarmes Georges Jandin et Roger Lagoutte sont mortellement atteints par balles. Un troisième gendarme est grièvement blessé.

Né le 19 décembre 1929 à Illy (08), le Gendarme Georges Jandin était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 2/2 d'Hirson (02). À titre posthume, la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 32 ans.

Né le 13 janvier 1934 à Sannois (95), le Gendarme Roger Lagoutte était également affecté à l'EGM 2/2 d'Hirson. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 28 ans.

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Etienne Mur 17 avril 1962

Le mardi 17 avril 1962 à Hussein Dey (Algérie), Jackie Manzano (22 ans) est enlevé sur son lieu de travail par des éléments « incontrôlés » de l'ALN agissant en violation des accords de paix. La victime est transportée de force dans une Renault 4CV dont l'immatriculation est relevée par un témoin.

Le même jour sur la même commune, le véhicule en question est stoppé sur un barrage de Gendarmerie. Les terroristes comprennent qu'ils vont faire l'objet d'un contrôle et ils ouvrent immédiatement le feu avec des armes automatiques, atteignant mortellement le Gendarme Etienne Mur qui riposte en s'écroulant, tuant son meurtrier mais également un passant d'une balle perdue. Un second individu est interpellé et un troisième parvient à s'enfuir.

Le civil enlevé n'était pas dans le véhicule lors de la fusillade et il ne sera, comme tant d'autres, jamais retrouvé.

Né le 05 mars 1934 à Lanet (11), le Gendarme Etienne Mur était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 2/2 d'Hirson (02). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 28 ans.

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Amar Ameziane 12 avril 1962

Le 12 avril 1962 à El Biar (Algérie), tombé dans un guet-apens alors qu'il se rendait dans un immeuble pour une mission, le Gendarme Amar Ameziane est mortellement atteint sous les balles d'un terroriste non identifié.

Né le 30 juillet 1931, le Gendarme Amar Ameziane était affecté à la 10ème Légion de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 30 ans.

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Joseph Salvador et Guy Cazier 12 avril 1962

Le 12 avril 1962 peu après 07 heures à Oran (Algérie), tombés dans une embuscade en mission d'escorte dans le quartier européen de Saint-Eugène, leur véhicule criblé sous les balles de terroristes non identifiés, le Gendarme Joseph Salvador est mortellement atteint tandis que le Gendarme Guy Cazier est évacué vers un hôpital où il succombe dans la journée du 18 avril 1962. Un troisième gendarme est blessé.

Né le 1er février 1927, le Gendarme Joseph Salvador était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 35 ans.

Né le 23 septembre 1933, le Gendarme Guy Cazier était également affecté à la 10ème LGM bis. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 28 ans.

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Désiré Chaput 10 avril 1962

Le 10 avril 1962 vers 10 heures à Alger (Algérie), témoin de l'assassinat d'un vendeur de fleurs en centre-ville alors qu'il circulait seul au volant d'un véhicule, le Gendarme Désiré Chaput descend de voiture et se lance à la poursuite d'un terroriste de l'OAS qu'il parvient à rattraper et qu'il tente de maîtriser. Discrètement approché par un complice, le sous-officier est exécuté par balles à bout portant.

Né le 21 mai 1921 à Luzeret (36), le Gendarme Désiré Chaput affichait 16 ans de services et était affecté à la 10ème Légion de Gendarmerie Départementale. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Il avait 40 ans.

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Abdelkader Hazem 05 avril 1962

Le 05 avril 1962 à Hussein Dey (Algérie), lancé à la poursuite de terroristes auteurs d'un attentat, le Gendarme Abdelkader Hazem est mortellement atteint par balles en tentant de procéder à une arrestation.

Né le 14 janvier 1914, le Gendarme Abdelkader Hazem était affecté à la 10ème Légion de Gendarmerie Départementale. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Il avait 48 ans.

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André Laurantin 02 avril 1962

Le lundi 02 avril 1962 à Oran (Algérie), en barrage routier pour boucler les accès au quartier européen Saint-Eugène lors d'une opération contre l'OAS, le Gendarme André Laurantin est mortellement atteint par balles en contrôlant un véhicule monté par des éléments du groupe terroriste. Un second gendarme est gravement blessé.

Né le 10 septembre 1929, le Gendarme André Laurantin était affecté à la 3ème Légion de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 32 ans.

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Jean Bernard 28 mars 1962

Le 28 mars 1962 à Oran (Algérie), dans les restaurants où l'on sait que dinent les gendarmes en partance et leurs familles, un commando de l'OAS profitant d'une situation chaotique contrôle les identités armes aux poings. On recherche le Gendarme Jean Bernard, logé dans un hôtel dans l'attente d'un rapatriement vers la France métropolitaine et dont l'élimination a été ordonnée par l'OAS. Outre le fait qu'il ait participé à l'arrestation de plusieurs terroristes de l'organisation, le militaire est ciblé parce qu'il fait l'objet d'une rumeur fantaisiste selon laquelle il possèderait une liste détaillée de ses membres et de ses sympathisants.

Le renseignement tant convoité obtenu sous la menace, le commando s'introduit dans l'hôtel en question et se positionne en guet-apens. Alors que le Gendarme Bernard rejoint sa chambre, quatre individus rentrent en force derrière lui. Le sous-officier est tué par balles, méthodiquement achevé devant sa famille.

En avril 1963, François Ortola (30 ans) est interpellé à Lyon (69) par la Sûreté Nationale (devenue Police Nationale). Ex-policier en Algérie, il finit par avouer l'assassinat du GND Bernard après un long interrogatoire et dénonce trois coauteurs, Ange Tari, Georges Martini et Raymond Subiela ainsi que trois autres complices, des gendarmes « pieds-noirs » rapatriés, Maurice Callejas, Alfred Andreu et Fernand Teboul, lesquels auraient désigné leur camarade comme un anti-OAS convaincu, le livrant à la mort. Tous, à l'exception de Subiela qui reste introuvable, sont rapidement arrêtés.

Les accusés, dont certains sont passés aux aveux, sont jugés en novembre 1963 devant la Cour de Sûreté de l'État qui prononce le verdict suivant :
- Subiela, toujours en fuite, est condamné par contumace à la peine de mort pour assassinat d'un agent de la force publique ;
- Ortola, ancien policier, est condamné à la réclusion criminelle dite à perpétuité pour assassinat d'un AFP ;
- Tari est condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour assassinat d'un AFP ;
- Callejas, ancien gendarme, est condamné à 10 ans de réclusion criminelle pour complicité d'assassinat sur un AFP ;
- Andreu, ancien gendarme affecté dans la même unité que le GND Bernard, est condamné à 8 ans de réclusion criminelle pour complicité d'assassinat sur un AFP ;
- Martini est acquitté pour assassinat d'un AFP mais condamné à 5 ans de prison pour complot contre l'autorité de l'État ; 
- Teboul, ancien gendarme affecté dans la même unité que le GND Bernard, est acquitté pour complicité d'assassinat sur un AFP mais condamné à 1 an de prison pour complot contre l'autorité de l'État.

Les assassins et complices seront finalement amnistiés entre 1964 et 1968, au même titre que tous les membres de l'OAS. Subiela n'ayant pas été retrouvé entre-temps, il échappe ainsi à la peine de mort.

Né le 21 août 1928 à Moyemont (88), le Gendarme Jean Bernard était affecté à la Brigade Territoriale de Sidi-Bel-Abbès (Algérie). À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié, père d'une fillette de 8 ans et d'un second enfant qui naîtra après son décès, il avait 33 ans.

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Francis Le Bigot 25 mars 1962

Le 25 mars 1962 à Oran (Algérie), le Gendarme Francis Le Bigot est mortellement atteint par balles au cours d'une opération contre l'OAS. Neuf autres gendarmes sont blessés.

Né le 12 janvier 1939, le Gendarme Francis Le Bigot était affecté à la 3ème Légion de Gendarmerie Mobile. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 23 ans.

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André Delort et Jeannot Mauffrey 23 mars 1962

Capitaine André Delort (à gauche) et Adjudant Jeannot Mauffrey (à droite), tués en service
 commandé à l'âge de 37 et 34 ans. Dans une Algérie d'après-guerre déchirée par les
 attentats, ont trouvé la mort au combat contre l'OAS, Victimes du Devoir.

Le 23 mars 1962 à Alger (Algérie), alors que les attentats de l'OAS s'intensifient dans le but de rendre caduc le cessez-le-feu, un commando du groupe désarme sous la menace une patrouille de l'Armée de Terre. L'action est réitérée quelques minutes plus tard mais la seconde patrouille refuse la reddition. Les terroristes ouvrent le feu, atteignant mortellement les Soldats Roger Oudin (19 ans), Messaoud Fecih (20 ans), Robert Nogrette (19 ans), Jean Grasset (18 ans), Philippe François (19 ans), Saïd Belmiloud (21 ans) et Daniel Doutre (19 ans), tous appelés du contingent. D'intenses combats urbains débutent alors dans le quartier européen de Bab El Oued, opposant les militaires dont des gendarmes mobiles aux éléments de l'OAS.

C'est en portant assistance à des camarades isolés, au milieu du fracas des armes automatiques et des grenades, que l'Adjudant Jeannot Mauffrey et le Capitaine André Delort paieront eux aussi le prix ultime. Le premier est tué sur le coup durant les combats tandis que le second succombera à ses blessures dans un hôpital le 26 mars 1962. Dans la soirée du 23 mars 1962, on déplore 15 militaires tués et 71 blessés dans le quartier de Bab El Oued où des milliers de munitions ont été utilisées de part et d'autre.

Du 24 au 28 mars 1962, plusieurs milliers de perquisitions et d'interpellations sont réalisées dans le quartier européen par la Gendarmerie Nationale et la Sûreté Nationale (devenue Police Nationale en 1966), appuyés par l'Armée de Terre. Suites judiciaires ignorées. Quoiqu'il en soit, tous les membres de l'OAS et affiliés seront amnistiés en 1964 et 1968.

Né le 02 août 1924 à Bonn (Allemagne), le Capitaine André Delort était affecté à l'Escadron de Gendarmerie Mobile 5/9 de Nice (06). À titre exceptionnel, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et, à titre posthume, la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 37 ans.

Né le 02 novembre 1927 à Beulotte-Saint-Laurent (70), l'Adjudant Jeannot Mauffrey était affecté à la 6ème Légion bis de Gendarmerie Mobile. Déjà décoré de la Médaille Militaire, il reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur et la Médaille de la Gendarmerie à titre posthume. Il avait 34 ans.

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Joseph Torillec 15 mars 1962

Gendarme Joseph Torillec, tué en service commandé
 à l'âge de 28 ans. Durant la guerre d'Algérie, est
 tombé sous les balles, Victime du Devoir.

Le 15 mars 1962 à Mostaganem (Algérie), alors qu'il se rendait à la prison civile de la ville en service commandé, le Gendarme Joseph Torillec est mortellement atteint sous les balles d'un individu non identifié.

Né le 02 avril 1933 à Crozon (29), le Gendarme Joseph Torillec affichait 5 ans de services et était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Il avait 28 ans.

La 47ème promotion de sous-officiers de Gendarmerie de l'école de Châteaulin (2013) porte le nom du GND Torillec.

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Joseph Poirier 14 mars 1962

Le 14 mars 1962 à Oran (Algérie), circulant à bord d'un véhicule avec sa famille pour embarquer au port de la ville à destination de la France métropolitaine où il venait de recevoir sa nouvelle affectation, le Gendarme Joseph Poirier est exécuté sous les balles d'un individu non identifié.

Né le 10 mai 1925, le Gendarme Joseph Poirier affichait 9 ans de services et était affecté à la 10ème Légion bis de Gendarmerie Départementale. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié et père de famille, il avait 36 ans.

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Pierre Jacques 09 mars 1962

Le 09 mars 1962 à Alger (Algérie), le Maréchal des Logis-Chef Pierre Jacques est mortellement atteint sous les balles d'un individu non identifié.

Né le 21 décembre 1929 à Neufchâtel-en-Bray (76), le Maréchal des Logis-Chef Pierre Jacques affichait 10 ans de services et était affecté au Groupement Autonome de Gendarmerie du Sahara. À titre posthume, il reçoit la Médaille Militaire et la Médaille de la Gendarmerie. Marié, il avait 32 ans.

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